1. Vendanges


    Datte: 02/03/2021, Catégories: fh, hh, hplusag, jeunes, campagne, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral hsodo, init, confession, prememois, inithh,

    ... quelque chose, mais ses jambes étaient serrées. Son expression trahissait un mélange d’excitation et d’anxiété – mais celle-ci était la plus forte. Ses yeux étaient fixés sur mon sexe, toujours dégagé de mon short, et violemment érigé. — Je crois que tu devrais écarter un peu les jambes… Marie-Laure sembla hésiter, puis, toujours assise, repoussa son pantalon et son slip de quelques centimètres, pour se donner un peu plus de liberté – mais clairement, elle ne voulait pas en avoir trop… Avec une certaine difficulté, je descendis un index, lui fis mal par maladresse, réessayai… et tout d’un coup atteignis une zone magique, d’une prodigieuse humidité. Marie-Laure eut un soubresaut, avec un cri étranglé… et referma les jambes. J’étais désarçonné, me demandant ce que j’avais fait de mal. Ce n’est que bien plus tard que l’expérience m’apprit qu’en cet instant, Marie-Laure avait surtout eu très peur d’elle-même. Marie-Laure enfouit sa tête dans ses genoux, qu’elle tenait serrés dans ses bras. L’idée fixe qui m’avait animé depuis la dernière nuit revint en force. — Tu sais, on pourrait quand même le faire, sans risque pour toi…. Elle me regarda avec incompréhension. Je m’enhardis, ayant préparé à l’avance une petite flatterie – mon inexpérience n’était pas assez immense pour m’en faire ignorer l’efficacité. — On pourrait le faire… par derrière. Tu as des fesses magnifiques, tu sais, cela me fait très envie. Marie-Laure me regarda, les yeux froids, et me répondit : — Par derrière ...
    ... ? Ce n’est pas possible. Ça fait très mal, tu sais… Je faillis, un instant, lui dire que la chose ne semblait pas faire grand mal à son frère, et qu’après tout ils étaient du même sang. Mais cette révélation n’était guère envisageable, et puis je me rappelai le tube que Mohsine avait utilisé dans la douche, et le fait que je n’avais rien…. J’étais une fois de plus condamné par mon imprévoyance. Je ravalai mes intentions. J’étais un peu désemparé. Marie-Laure s’en rendit compte – et sans doute en fut un peu rassurée. Elle avait maintenant compris que je ne pousserais jamais mon avantage au mépris de ses propres souhaits. Elle se pencha sur moi. Je crus un moment qu’elle allait prendre mon sexe entre ses lèvres et me raidis – je n’étais pas suffisamment égoïste pour ne pas tenir compte du fait qu’entre mon vélo du matin, le travail physique, et surtout le désir accumulé qui rendait l’objet en permanence suintant, la chose demanderait une abnégation certaine. Et puis il y avait mon ambiguïté, mon empathie permanente pour le côté sexuellement féminin de mon propre être. À l’inverse de la pénétration, imaginable et imaginée, la fellation me répugnait. Finalement, elle me prit dans sa main. Instruit par l’expérience, je l’aidai à pointer dans la direction opposée à elle-même et à ses vêtements. Comme la veille, il ne lui fallut guère de temps, ni un talent particulier qu’elle n’avait d’ailleurs pas, pour me faire jouir – violemment, la décharge n’étant cette fois pas inhibée. ...
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