Souvenir de rando
Datte: 02/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
vacances,
campagne,
vengeance,
Oral
fsodo,
jouet,
confession,
... ses caresses de gémissements, de petits cris et de paroles dignes de celles qu’une femme peut prononcer lorsqu’un homme la possède. J’essaie de me joindre à ce concert et, ma foi, lorsque nous retournons vers Valérie, les larmes que nous découvrons sur son visage sont la preuve que notre imposture était vraisemblable. Au retour, je laisse les filles profiter de la salle de bain en premier. Lorsque j’ai terminé et que j’entre dans ma chambre, j’ai la surprise de trouver Valérie assise sagement sur mon lit. Elle se lève aussitôt et dit avec un air attendrissant : — Je peux passer la nuit avec toi ? Elle continue : — Tu me pardonnes ? Dis, tu me pardonnes ? Christophe, je t’aime. Elle est si belle… Si attirante dans cette nuisette qui marque ses rondeurs. Son visage est anxieux. Mais sans même réfléchir, je lui souris et réponds : — Moi aussi je t’aime. Viens, oublions tout. Elle se précipite dans mes bras et cherche mes lèvres. Ce baiser a un goût de renouveau, de spontanéité, de retrouvailles. Ses bras m’attirent, me poussent, défont ma serviette de bain pour me guider sur le lit. La nuisette s’envole et la belle tombe à mes genoux pour aller cueillir le bourgeon de ma queue qui gonfle. C’est bon. Elle me suce. Sa bouche est tapissée de velours et sa langue est une libertine qui a toutes les audaces. Mais les paroles d’Emma me reviennent en mémoire lorsque, parlant de Valérie, elle disait : « Elle voulait qu’on la domine, qu’on la guide. Excuse-moi de te dire cela, mais ...
... elle s’est entièrement livrée à lui parce qu’elle a intuitivement senti le besoin de se faire diriger. ». Alors je fais ce que j’ai envie de faire depuis si longtemps ; ma queue jaillit de sa gorge, tirant de longs filets de salive pendant que je soulève Valérie pour la pousser sur le lit, à genoux, cuisses écartées, la tête écrasée par ma main sur les draps et les reins… Oh oui, ses reins cambrés dans une pose indécente, offrant à mon regard la croupe frémissante et la vallée encore dans l’ombre. Ce sont les mains de Valérie que je vais saisir pour les placer bien à plat sur les lobes fessiers. Ce sont ses mains, que je n’ai plus besoin de guider, qui d’elles-mêmes entrouvrent le sillon dans un geste d’offrande. C’est Valérie qui les écarte encore plus pour que l’anus s’ouvre et que, pour la première fois, je voie ainsi offert, indécent, impudique, le trou sombre que je n’ai jamais emprunté. Je n’en crois pas mes yeux. C’est si facile. Il est là, ouvert, et le filet de salive que je ne peux m’empêcher de laisser tomber de ma bouche disparaît dans le gouffre sans fin. Ma queue vibre d’impatience. Le gland est une tête chercheuse qui semble se diriger seul. Il s’approche et le trou semble respirer pour s’ouvrir encore plus. Nul doute qu’ils doivent se parler… L’anus : « Allez, viens, ne reste pas à la porte : tu vois bien que je t’attends. Je suis prêt. ». La queue : « J’arrive, mais laisse-moi le temps de savourer mon plaisir. Cela fait si longtemps que j’en avais envie ! ». — ...