Souvenir de rando
Datte: 02/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
vacances,
campagne,
vengeance,
Oral
fsodo,
jouet,
confession,
... Ahhhh… Le drap ne parvient pas à étouffer le cri de Valérie lorsque je m’enfonce d’un coup vigoureux dans son cul. Ce n’est pas un cri de douleur, car je suis entré avec bien de la facilité. Peut-être qu’un jour j’irai remercier ce con de Paul pour m’avoir ouvert le chemin et inculqué des idées nouvelles à Valérie. En tout cas, ce cul, c’est avec envie que je le laboure de toute ma puissance, enjambant la croupe pour mieux le pistonner. Cette croupe qui jaillit, montagne érigée ou ma bite disparaît sans effort, paraît grandir, comme si l’enculée se cambrait encore et encore pour venir à mon devant. Le lit gémit. Ce lit, qui a dû voir des générations de couples se donner du plaisir, mêle ses grincements de sommier à ressorts à celui de la femme que j’encule, et qui maintenant ponctue chacune de mes avancées par un petit cri. Que c’est bon… Je glisse sans fin dans le conduit étroit, mais ô combien accueillant. Et cet œil, oui, cet œil sombre qui me regarde alors que ma queue vient de l’abandonner ; cet œil qui a sa propre vie, sa propre respiration, que je réinvestis à chaque fois avec plus de plaisir… Combien de fois ai-je répété ce ...
... mouvement ? Pendant combien de temps ai-je labouré la femme infidèle ? Nul ne le sait. Pas Valérie, qui ne cesse de crier son plaisir. Pas moi, qui ne pense qu’à durer le plus longtemps possible. C’est lorsque l’œil s’est mis à pleurer des larmes blanches, longues traînées de mon sperme que chaque mouvement de queue poussait puis extrayait de l’anus, que j’ai vraiment réalisé que j’avais éjaculé dans son cul. La nuit ne faisait que commencer. Le lendemain matin, aucune trace d’Emma. La chambre est vide, rangée, comme si personne ne l’avait occupée pendant longtemps. Heureusement, un mot attend sur la table de la cuisine : « Soyez heureux ! ». Sans ce mot nous aurions pu croire qu’Emma n’avait jamais existé. Un ange ! D’accord, un ange particulier, mais tout de même… Cela n’existe pas, une jeune femme si expérimentée dans les dédales des tourments amoureux ; quelqu’un nous l’avait envoyée, c’est certain. Quelqu’un avait eu pitié de nous. Peu importe. En tout cas, depuis, chaque année, nous célébrons sa venue. Elle peut être fière de nous et de son travail. Chaque fois que nous invitons un homme ou une femme à nos jeux amoureux, elle est avec nous…