Ouvertures ! - Histoires de Sexe

Ouvertures !

— Et celui-là ! Comment le trouves-tu ? Encore plus coquin que le premier ? Si je continue ainsi, je me demande à quoi va ressembler le soutien-gorge que nous allons découvrir au fond de cette boutique.— À presque rien Françoise ! Il existe toujours un semblant de soutien-gorge même s’il consiste en quelques fils ou cordelettes savamment disposées. La magie de l’érotisme tient à très peu de choses, à un fil d‘ailleurs. Je me suis rapproché de toi, nos deux corps sont plaqués l’un contre l’autre, je te bouscule un peu, tu tentes de m’échapper et de résister à ma pression. — Qu’est ce que tu veux grand coquin ! Crois-tu que je ne te devine pas sous ton regard qui n’en peut déjà plus de désir. Et dire que tu n’as presque rien découvert. Toi, dès que tu peux voir ! Je profite de ta faiblesse et de l’inconfort de ta position, coincée contre un portant qui vacille, pour glisser ma main dans la fente de ta jupe longue. J’entre aussitôt en contact avec la peau chaude et lisse d’une cuisse qui ne s’esquive pas, bien au contraire. Je tente, encouragé par ton attitude, de monter sans plus attendre en direction de ton sexe que je devine à quelques centimètres à peine de mes doigts curieux. Tu m’arrêtes énergiquement et tu bloques mon poignet d’une main ferme. — Que tu es incorrigible. Pas ici ! Tu sais bien que je n’aime pas, quelqu’un peut nous surprendre et je pourrais me considérer comme prise en faute.— Alors pourquoi m’as-tu attiré ici ? Et crois-tu qu’ici, dans cet antre qui me ...

... semble dédié à la lingerie fine plus qu’osée, quelqu’un sera choqué si je te touche à peine ?— Vilain garnement, comme tu aimes tant te le prétendre ! Attention à toi ! Sans que je m’y attende, tu poses une main sur mon sexe qui s’agite depuis quelques minutes, déboussolé et émoustillé par ce flot de dentelles et autres matières évocatrices. Mon pantalon s’orne aussitôt d’une jolie grosseur évocatrice qui attire ton regard et suscite ta convoitise. Tu le presses à plusieurs reprises, histoire de le provoquer encore plus et de me plonger sans faillir dans une gêne dont je vais éprouver bien des difficultés à me sortir. Vais-je rougir de honte ou de plaisir ? — Dis donc Jean-Marie ! Bien excité ton engin, et encore il n’est pas au bout de ses émotions.— Je verrai, il verra bien. Laisse-moi découvrir ce palais des sens à notre rythme, lui et moi. Qu’Éros s’empare de nous et nous guide, nous te suivons !— D’accord, cela me convient d’être votre guide mais je te conduis quand même sans trop flâner vers une parure affriolante que j’ai remarquée la dernière fois. Tu me diras ce que tu en penses… De toute façon, je connaîtrai immédiatement ta réaction. Tu es si spontané quand ta sensualité éclate. Tu ne peux rien me cacher.— Tu as tout soigneusement manigancé, je croyais que tu étais venue en coup de vent.— Presque… En musardant toutefois, un regard posé sur l’une de ces merveilles, un toucher sur une autre, un essayage pour terminer.— Vous désirez que je vous aide madame, monsieur ? ...