1. Ouvertures !


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, hdanus, tutu, couple,

    ... Recherchez-vous un modèle particulier ou un autre que vous ne retrouvez pas ? La vendeuse nous surprend tous les deux. Nous l’avions oubliée ou ignorée tant nous étions trop pressés de satisfaire nos esprits mutins et de combler nos corps y compris sous ses yeux. Françoise nous sort de l’embarras. — Non merci, nous voyons à peu près ce que nous désirons, réponds-tu comme si tu souhaitais qu’elle ne vienne pas troubler le jeu érotique qui naît et grandit entre nous. J’ai remarqué un ensemble plutôt coquin lors de ma dernière visite, je veux le présenter à mon compagnon, puis savoir si cela me convient ! Enfin, nous convient !— Vous pouvez tout à fait l’essayer, ne vous gênez pas. Monsieur saura très certainement vous aider à choisir et vous dire si cela vous va au mieux. Elle nous regarde, nous dévisage même, s’intéresse à nos corps et nous sourit enfin, perdant de sa raideur. Je m’interroge. Nous ne sommes pas des clients hors du commun quand même. Qu’a-t-elle découvert ? Je baisse la tête et surpris, je constate que tout le temps de cet échange, ta main est restée crispée sur ma queue, la pressant tranquillement. Je rougis un peu. Les yeux curieux de cette jeune femme sont posés sur mon sexe emprisonné par toi. J’ai soudainement la sensation que la petite bosse, certes déjà indiscrète, qui déformait mon pantalon prend de l’ampleur et qu’elle ne va pas tarder à susciter toutes les convoitises, à provoquer les envies les plus folles. Tant pis, c’est ainsi et je décide de ne ...
    ... pas contrôler cette part de moi-même. Pourquoi ne pas accorder à ma verge la liberté qu’elle attend ? Il faut que je me laisse porter par cette émotion étrange et inhabituelle, cette envie de l’exhiber, de la faire vivre pour cette vendeuse inconnue et pour toi, Françoise, qui la caresse toujours. Une scène prend peu à peu forme dans mon esprit, je vagabonde dans le monde d’Éros. C’est à peine si je perçois ta réponse. — Merci nous ne manquerons pas de faire appel à vous si nous en éprouvons le besoin. Elle s’éloigne et gagne son comptoir sans réellement nous quitter des yeux. Elle s’attend à quelque chose. Elle ne me gêne pas, toi non plus d’ailleurs, enfin, c’est ce que je suppose. Pourtant, il y encore quelques mois je n’aurais jamais imaginé exposer ainsi mes émotions les plus intimes. Tout est différent à tes côtés, un trouble inconnu s’insinue en moi, modifie mon comportement, il faut que je te touche, que je te sente sous mes doigts, que je m’empare de ta chair au charme si puissant que je ne peux y résister. Je tends le bras droit, écarte ton manteau et frôle ta poitrine rehaussée et proéminente, lovée dans un chemisier follement échancré qui laisse plus que deviner la naissance de tes seins et le sillon profond qui les sépare. Tu ne dis rien et ne me repousses pas. Je m’appesantis tant tes rondeurs évocatrices m’émoustillent au-delà de ce que tu peux imaginer. Tes tétons, pointes encore discrètes sous le tissu léger qui les recouvre, s’éveillent et apparaissent enfin ...
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