1. Ouvertures !


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, hdanus, tutu, couple,

    ... sous le contact de la paume de ma main. — Viens voir ce que j’ai découvert la dernière fois, car je me doute qu’après les avoir assidûment tutoyés, tu vas vouloir les voir mes tétons ! Les voir et surtout les toucher ! Ah ! Les toucher, gros coquin. Nous voilà tous les deux collés l’un à l’autre devant un présentoir où les soutiens-gorge n’ont absolument rien en commun avec les pièces de lingerie déjà osées de certaines marques qui le revendiquent. Tu pointes du doigt un modèle un peu en retrait par rapport aux autres. — Regarde Jean-Marie ! C’est celui là que j’aimerais bien porter. Pour moi et pour toi aussi. Mes seins y seront comme simplement posés sur l’armature, libres, enfin presque. Dès que tu entrouvriras mon chemisier ou que tu écarteras l’échancrure de ma robe, ce que tu adores faire, trop curieux que tu es, ils seront aussitôt à toi. À tes yeux tout d’abord qui ne cessent de les déshabiller et qui s’impatientent quand ils tardent à gonfler sous leur insistance. À tes doigts ensuite pour qu’après avoir triturés mes tétons dans tous les sens, tu les pinces, les étires comme si tu souhaitais les détacher de mes mamelons. Tu t’émerveilles à les faire grossir et grossir encore, afin qu’ils deviennent plus énormes que des groseilles trop mûres, prêtes à éclater. Tu me feras mal, une douleur sans violence réelle mais que tu ne peux calmer qu’avec ta bouche, alors tu les suceras. Contemple-les ! Tiens, mes pointes sont déjà abominablement volumineuses, elles vont ...
    ... déchirer ce tissu décidément trop léger pour elles. Je n’en peux plus et sans ménagement j’attrape un de tes tétons et je l’écrase sous mes doigts. Tu frémis et recules légèrement avant de planter ta bouche sur la mienne, de m’étouffer d’un baiser fougueux et de jouer avec ma langue. — Aïe ! Pas aussi fort. Ne sois pas méchant Jean-Marie, tu n’es pas comme cela d’habitude. Tu sais que je ne te les refuse jamais, j’adore quand tu joues avec. Et si j’empoignais ta verge avec autant de force et de hargne ?— Tu peux Françoise. Elle est déjà complètement déployée et je me demande comment cela va se terminer ?— Tu vas en mettre tout partout. Sur moi ! Sur toi ! Dans tout le magasin et pourquoi pas sur la vendeuse qui nous dévore du regard, je te signale.— Tu en es certaine ?— Il suffirait d’un signe, je crois pour qu’elle guide mon essayage à ta place. Un point de vue féminin c’est toujours intéressant à découvrir et à partager. Dis donc, coquin de voyeur ! Jean-Marie, tu me déshabilles complètement, ma poitrine est presque nue.— Elle est magnifique, je jurerais que tes seins n’ont jamais été aussi gros.— Menteur !— Non. Il est vrai que j’ai totalement déboutonné ton chemisier, soulevé les bonnets très légers de ton soutien-gorge. À part ton manteau, il ne te reste plus grand-chose sur les épaules. Et si je te dénudais complètement ici, au beau milieu de cette boutique des Grands Boulevards ? Pour que je ne sois pas en retard et appliquant un principe d’égalité que tu revendiques avec ...
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