1. La boulangère et l'étudiant


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, fplusag, vacances, magasin, Masturbation Oral fdanus, fsodo, yeuxbandés,

    ... content de pouvoir l’honorer.— C’est plutôt gentil comme compliment. J’ai connu pire. Edouard commence à faire de petits cercles autour et sur la rondelle de Béatrice. Ses fesses sont parcourues par de petits tremblements. Il appuie un peu, mais sans forcer, son doigt commence à rentrer. Béatrice ne veut pas rester passive. Elle écarte un peu ses cuisses pour que le doigt puisse rentrer plus facilement et plus profondément. — Si je te fais mal, dis-le moi immédiatement, ma belle Béa.— Tu ne me fais pas mal, au contraire c’est même très agréable. Béatrice joue en rythme avec le doigt d’Edouard. Quand il rentre, elle s’ouvre au maximum, quand il sort, elle essaye de le retenir. — Je vais mettre un deuxième doigt, ma belle Béa. Edouard fait de grands cercles avec ses doigts. Béatrice est complètement détendue. Elle fait entièrement confiance à son jeune amant, elle va pouvoir accueillir son sexe jusqu’au plus profond de son corps. Edouard prend la main de Béatrice et la pose sur son membre qui est d’une rigidité sans faille : — Penses-tu qu’il est prêt à t’honorer.— Je l’espère, moi je suis prête, mon petit Edouard chéri. Edouard se met à genoux et se positionne entre les fesses de Béatrice qui se contractent un petit peu. Il appuie sur la petite rondelle qui n’a pas eu le temps de se refermer, rien ne peut empêcher sa progression. Béatrice sent ce sexe bien ferme qui la pénètre en douceur au plus profond d’elle-même. Elle est tellement heureuse pour son jeune amant qui ...
    ... commence à faire lentement de grands allers-retours, très profonds, sans forcer. — Comment te sens-tu, ma belle Béa ?— Prends tout ton temps, j’aimerais que tu restes en moi le plus longtemps possible.— Regarde-toi dans la glace et caresse-toi, je veux qu’on ait notre plaisir ensemble. Béatrice met sa main droite sous son bas-ventre et commence à faire rouler son clitoris entre deux doigts. C’est ce qu’elle préfère. Edouard remarque la dextérité de son amante à se donner du plaisir. Cela l’excite au plus haut point. Il sent qu’il peut faire comme avec son ancienne volleyeuse d’Allemagne de l’Est, faire des va-et-vient de plus en plus grands et de plus en plus violents. À chaque mouvement, comme il aimait le faire auparavant, il sort des fesses de Béatrice puis la pénètre à nouveau. Elle ne sent rien, son excitation est trop forte. Ses seins deviennent durs, ses fesses se crispent de plus en plus, son corps tout entier se raidit. Elle commence à râler. Elle ne va plus tenir très longtemps, et Edouard non plus. Soudain, son corps ne se maîtrise plus, elle ne sent plus son sexe, il ne fait que couler. Elle ne peut retenir un premier « n’arrête pas », pas très fort, suivi d’un deuxième beaucoup plus fort. Et puis tant pis si on l’entend. Edouard attendait ce moment, il peut s’abandonner. Avec ses mains il écarte au maximum les fesses de Béatrice, pour la pénétrer encore plus profond, au plus chaud de son corps et y délivrer tout son plaisir, là où il aime tellement le déposer. À ...
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