La boulangère et l'étudiant
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
... l’instant précis où Béatrice ressent les tremblements de son amant et le plaisir qu’il lui inocule par grands jets dans son ventre, un spasme la parcourt, profond, puissant : elle vient de jouir en même temps que lui. Edouard attend quelques instant puis se lève. Béatrice reste un moment de plus dans la même position, elle veut prolonger ce moment de folie qu’elle vient de vivre, « c’est vraiment beaucoup trop court » pense-t-elle. Edouard la regarde, elle lui paraît encore plus belle et plus désirable après avoir offert son corps. Comme tout à une fin Béatrice se lève, prend son jeune amant dans ses bras, l’embrasse dans le cou et lui dit avec le sourire d’une femme dans la plénitude de ses moyens : — Tu m’as comblé, mon petit Edouard.— Je te retourne le compliment, ma belle Béa.— Tous ces efforts m’ont redonné faim. On va se rafraîchir avec une petite douchette et après on pourra manger un gâteau ou deux.— Ça nous redonnera des forces pour tout à l’heure. Béatrice et Edouard se dirigent ensemble vers la salle de bains : — Edouard, attends quelques instants dans la chambre, je prends la salle de bains en premier, tu prendras ta douchette pendant que je rassemblerai quelques bonnes pâtisseries. Edouard se rallonge sur le lit très satisfait. Béatrice est exactement le genre de femme qu’il lui fallait. Dimitri lui avait dit qu’il serait bichonné, il le sera encore plus. Il a une amante dès le premier jour qui fait l’amour avec passion. Que demander de plus. Son esprit est ...
... soudain réveillé par la voix de Béatrice qui sort de la salle de bains : — À ton tour, mon petit Edouard, la douche est libre. Edouard prend tout son temps pour se doucher, il aime quand l’eau chaude coule en abondance, c’est particulièrement relaxant. Béatrice lui a préparé un grand peignoir et des chaussons, comme il fait chaud il n’a besoin de rien d’autre. Quand il descend dans la salle à manger, les gâteaux, les tartes et une glace à la vanille sont servis. Béatrice l’accueille avec un verre de rosé bien frais : — Nous pouvons encore trinquer ensemble.— Bien sûr, « Tchin » à ta santé, ma belle Béa.— « Tchin » à ta santé aussi. . Edouard se rapproche de Béatrice, passe sa main sous son peignoir et caresse délicatement ses cuisses, puis ses fesses : — Reste au moins sage le temps de manger nos douceurs, mon petit Edouard.— Ma belle Béa, excuse par avance mes propos irrespectueux, mais avec le cul que tu as, je vais avoir beaucoup de mal à rester en place.— Tu n’en es pas encore lassé depuis tout à l’heure.— Ce genre de chose ne me lasse jamais, pas plus que ta poitrine. Edouard ouvre le peignoir de Béatrice et dépose un gros baiser sur chacun de ses seins : — Arrête Edouard, il faut savoir faire une pause, nous reprendrons notre câlin après les gâteaux.— C’est promis ma grande gourmande mais à une condition, que tu ne refermes pas ton peignoir. Je veux continuer à voir tes seins, ton ventre et à deviner ton petit minou. La fin de la collation peut se passer de manière plus ...