1. Même le fils des voisins


    Datte: 04/03/2021, Catégories: fh, amour, noculotte, entreseins, Oral pénétratio, init,

    ... le long de mes jambes, entre mes cuisses. Arrivé jusqu’à son but, il avait murmuré que c’était inadmissible, une telle humidité dans un immeuble de ce standing ! Toujours accroupi il m’avait plaquée sur la porte, avait troussé ma jupe, troussé il n’y a pas d’autre mot, et après avoir soulevé une de mes cuisses, il m’avait léchée, mangée, avec des bruits de succion exagérés dont j’avais l’impression qu’ils étaient amplifiés par la cage d’escalier. Accrochée à ses cheveux, je regardais affolée vers le haut et vers le bas, terrorisée à l’idée que des voisins nous surprennent. Puis la minuterie nous avait plongés dans le noir au moment où je commençais à jouir, et là, je me moquais bien des voisins, j’aurais même souhaité qu’ils soient tous là, même la concierge pour assister toutes lumières allumées à l’orgasme que me faisait avoir mon homme. Avant que je n’aie eu le temps de méditer sur ce fantasme d’exhibition nouveau pour moi, il m’avait fait me retourner, debout, les mains plaquées sur la porte et, en me tenant par les hanches il m’avait prise puissamment avec des allers et retours qui m’avaient ravie, comblée, et comme j’avais déjà joui, plus besoin de m’attendre, il m’avait emplie de la sienne de jouissance. Tellement abondante que j’avais piétiné sur le paillasson pendant qu’il ouvrait la porte avec la clé miraculeusement retrouvée : « Ça alors, elle était dans ma poche, sous ta culotte ! » La main entre les cuisses, j’avais filé en direction de la salle de bain, pendant ...
    ... qu’il me suivait en hurlant de rire. C’est vrai que je devais avoir une sacrée allure, le cul nu, la jupe retroussée jusqu’à la taille (merde Gaby, je voudrais t’y voir, en talons et jupe remontée sur les hanches, la main plaquée sur le sexe pour que ça ne coule pas sur le tapis du couloir) et je m’étais ruée vers le bidet car dans ces appartements haussmanniens il y en avait encore. Il m’avait suivie et quand j’ai enfin pu m’y installer, l’eau idéalement tiède, j’ai senti sa main prendre de l’eau, la faire couler sur mon sexe, recommencer, puis ses doigts étaient venus pénétrer mon intimité et la rincer d’une façon beaucoup plus délicate que je ne l’aurais fait moi-même. — Dis, ma Sophie ça te plaît que je te lave la chatte ? Bien sûr que j’adorais ! Mais je n’aimais pas ce mot vulgaire utilisé par mes copines. Il a dit : — Bon, on va trouver un autre terme. Con ? J’aime bien, mais trop littéraire et désuet, pas vagin, trop médical, vulve non plus. Moule, je n’aime pas, peut-être minou, ça, ça te va ? Je lave ton petit minou. Et pour moi ? Bite ça va ? Non ? Dommage ! Pénis, verge, membre, non plus, trique, non ça n’est pas toujours une trique sauf le matin. Queue ? Tope là on dira queue, mais dommage, j’aimais bien dire : avec ma bite et mon couteau…— Stop Gaby, ôte tes doigts de mon minou, laisse-moi m’essuyer, j’aime bien le mot « queue » à cause des bandes dessinées de Reiser : « Tu la sens ma grosse queue ? Oui je la sens bien ! » Mais si tu me dis ça pendant l’amour, ...
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