Marion ; une veuve, une maman (2)
Datte: 05/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... qu’elle avait dû être par le passé ? Dix ans ? Cinq ? Un peu moins ? Elle ne voulait le perturber, mais Mathieu était quand même en âge de réaliser qu’elle n’était pas la Vierge Marie… Bien entendu, Marion n’imaginait pas que non seulement son fils ne la prenait pas pour une sainte, mais qu’en plus, depuis qu’il avait aperçu ses gros nichons dans la salle de bain, il n’avait plus qu’une idée en tête : la baiser ! Ce qui le désolait, c’est qu’il ne savait pas comment s’y prendre, ni par où commencer. Ce n’était pas exactement le genre de proposition qu’un fils fait à sa mère, alors comment lui faire comprendre ? Il n’était pas stupide. Il savait qu’elle se sentait seule, que sa solitude lui pesait. Belle comme elle était, c’était même surprenant qu’elle ait attendu si longtemps pour se remettre sur le marché. Elle devait les rendre fous, les mecs ; il se les représentait se bousculant au portillon. Non, le problème, c’est qu’il était jaloux à en crever ; il ne supportait pas l’idée que quelqu’un d’autre que lui la voit toute nue, la touche avant lui, fasse avec elle toutes « les cochonneries » qu’il rêvait de lui faire lui-même. Il en devenait fou rien que d’y penser. Il ne voulait pas juste la baiser ; il voulait être le premier, et le seul… — Nous irons chez toi ou à l’hôtel, jamais chez moi, prévient Marion en le regardant dans les yeux. Michel l’observait avec un sourire satisfait qui lui déplut ; il affichait la morgue du prédateur qui découvre que sa proie ne lui ...
... échappera plus. Après plusieurs diners, plusieurs rendez-vous en tête à tête, elle avait effectivement capitulé. Elle avait envie de coucher avec lui, elle en devenait folle, alors autant se rendre à l’évidence. — Nous serons très discrets… Personne ne doit l’apprendre… Si quelqu’un le découvre un jour, ce sera terminé, le prévient-elle. — Bien-sûr, je comprends… Tout ce que tu voudras, ma belle, lui murmure-t-il à l’oreille… Comme il refusait qu’elle voit le studio minable dans lequel il vivait, ils allèrent dans des hôtels bon marché. Ils en changeaient souvent, comme pour accentuer le côté clandestin de leur liaison. Pour une femme au caractère bien trempé, sûre d’elle-même, autoritaire dans son quotidien, Marion se révéla si docile au lit, si obéissante que Michel en fut d’abord surpris, puis ravi. Elle lui était soumise, lui permettait de prendre toutes les initiatives ; il pouvait disposer d’elle selon sa volonté. Il lui arrivait de se montrer brutal, pour affirmer l’emprise qu’il exerçait sur elle, mais il n’abusait pas de sa force et ne lui faisait jamais mal. Comme elle ne faisait pas les choses à moitié, Marion se pliait à ses caprices, faisait ce qu’il voulait ; elle acceptait tout ce qu’il lui demandait – sauf la sodomie. — Non ! Pas ça ! Il n’en est pas question ! Je ne veux pas, l’avait-elle rabroué avec son autorité retrouvée, quand il avait essayé de l’enculer. Elle avait ressenti sa frustration, son irritation devant cette insubordination, alors elle s’était ...