Solange m'invite à son safari - Histoires de Sexe

Solange m'invite à son safari

... jardins, mais on ne peut rien voir à cause des haies. Il faut donc un petit peu de courage pour monter le talus. On trouve quelques mètres plus haut un autre chemin, si on peut l’appeler comme ça, mais de là, on a une vue imprenable sur ce qui se passe derrière ces haies. Moi, c’est de là que j’ai découvert ce que je vais te raconter, et ce que j’espère te montrer… On grimpe en s’aidant des bras et des arbres pour atteindre une espèce de sentier assez accidenté. Le « safari » comme l’appelle Solange commence à bien porter son nom ! La belle me montre, assez excitée, une maison aux briques roses. — Oui, elles sont là… Regarde ! Je ne vois d’abord rien. Puis une femme apparaît à la porte-fenêtre de la terrasse, complètement nue. Mais ce n’est pas ça qui me surprend le plus… Cette bonne femme à poil doit mesurer entre 1 m 50 et 1 m 60, tant en hauteur qu’en largeur. Bon. J’exagère un peu, mais quand même. On a l’impression de voir une grosse boule. Elle a les joues joufflues, les mamelles mamelues, le ventre ventru, les fesses fessues. On pourrait ajouter, mais la langue française ne nous permet pas ces écarts de vocabulaire, qu’elle a également les cuisses cuissues et les mollets molletus ! Voir en vrai une femme comme ça à poil, c’est étonnant. Mais la surprise ne s’arrête pas là. Elle parle. Je vois en tout cas à l’expression de son visage qu’elle s’adresse à quelqu’un. J’aperçois alors, une copie conforme. Une autre grosse femme, presque identique à la première. La seule ...

... différence : elle semble avoir les mamelles plus mamelues que sa sœur jumelle. Car ce ne peut être que des jumelles. Ce n’est pas possible autrement. Solange me ramène sur terre. — Pas mal, hein ! Bon d’accord, ce ne sont pas Claudia Chou-fleur ou Sophie Marteau, mais c’est du spectacle quand même. Elles te font pas bander ces deux nanas ? Mon cerveau pénètre alors à l’intérieur de mon slip, mais ne remarque rien de particulier. Il est assez excitant d’observer ces deux nanas, mais ce n’est pas à ce niveau-là que l’excitation se traduit. Et pourtant, je sens malgré tout que mon intérêt pour elles est sexuel. Ce n’est pas une envie de leur sauter dessus, mais je pressens des vibrations « érotiques » inconnues. — Non, je bande pas ! ânonné-je, sans vraiment réussir à convaincre Solange qui lorgne vers mon short et n’y remarque cependant pas de bosse qui trahirait mon trouble… Je continue mon observation pendant qu’elle m’explique : — Au-dessus de 18 °C, on peut être sûr que les frangines – car je suppose que tu l’as remarqué, ce sont des sœurs, mais pas jumelles ! – eh bien ces deux frangines sont à poil dans leur jardin. Je les ai déjà vues alors que je gardais la petite laine, boire leur tasse de café, assises toutes nues sur les chaises de la terrasse, Mais avec le temps qu’il fait aujourd’hui, tu peux être sûr qu’elles vont étaler leur bidoche au soleil. Ce qui est impressionnant alors, c’est de les voir soulever leurs bourrelets ou leurs nichons pour mettre de la crème ...