Les deux anges d'Amorgos
Datte: 29/10/2017,
Catégories:
ff,
ffh,
jeunes,
vacances,
plage,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
... légèrement écartées ses lèvres, découvrant le petit capuchon du clitoris, que je devinais sous la faible lumière ambiante qui venait de l’éclairage du camping, à l’extérieur de la tente. J’ai approché ma langue autour de son petit bouton, goûté à sa saveur, commencé un cunnilingus en règle. Isabelle léchait aussi le sexe de sa copine. J’y rencontrai sa langue. Puis, elle lui a introduit un, puis deux doigts à l’intérieur de son vagin. Céline gémissait de plus en plus fort. J’ai, moi aussi, introduit mon majeur dans son vagin. Les doigts d’Isabelle et les miens se rejoignaient et conjuguaient leur mouvements. Son sexe était trempé de ma salive et de sa mouille, qui devenait plus abondante. Elle a joui en serrant fort ma cuisse, tendant son vagin vers le haut, crispée. Arc-boutée pendant plusieurs instants, elle en était encore plus ouverte. Isabelle et moi, un rien pervers, nous en profitions pour accélérer notre geste. Nous aussi étions tendus vers sa jouissance, et nous prenions un malin plaisir à la rendre plus longue et plus forte. Elle a finit par se détendre, tandis que nous nous ralentissions le mouvement. Essoufflée presque autant que moi quelques minutes plus tôt. J’observais Isabelle qui déposait encore quelques baisers sur le sexe de son amie (petite amie ? Je ne sais pas…), à en récolter les dernières gouttes et, si possible, lui arracher encore quelques gémissements. Une fois qu’Isabelle s’est détachée d’elle, Céline a repris les choses en main. En la regardant ...
... dans les yeux, avec une lueur perverse, elle lui a lancé un impératif : — À ton tour, maintenant ! Isabelle n’a même pas eu le temps de baragouiner quelque chose, que Céline l’avait couchée et plongeait sa langue dans son vagin. Presque immédiatement, Isabelle a commencé à manifester son plaisir par des « ho ! oui ! ta langue ! mets-la-moi profond ! oui, comme ça ! Hmm ! ». La scène a recommencé à m’exciter. Si bien que mon érection est repartie de plus belle. Céline a dû le voir et, sans arrêter de besogner sa copine de sa langue, elle a commencé à me branler pour parfaire mon érection. Après, Céline s’est relevée, les babines pleines de la mouille d’Isabelle. Elle lui a ordonné : — Mets-toi à quatre pattes. Le temps qu’elle se retourne, et que je comprenne ce qu’elle voulait, elle avait déjà sorti un préservatif et commençait à me l’enfiler. Et puis, elle m’intime : — Vas-y, prends-là fort ! Et elle dirige clairement mon sexe vers l’entrée de la caverne de son amie. Isabelle, la tête posée sur les bras, le cul tendu, offerte, n’attendait que ça ! Je ne me suis pas fait prier pour plonger dans son vagin chaud, humide, doux. J’y suis entré très facilement : j’ai tout de suite senti ses fesses sur mon bas-ventre. Une forte lueur d’excitation dans les yeux, Céline me dit — Vas-y, bourre-là ! J’ai alors remarqué qu’elle se caressait le clitoris, fascinée par mon sexe qui pénétrait le con de sa copine. Et Isabelle a continué à dire des mots crus : « Oui, c’est bon », d’abord. Puis ...