Roxane et Evelyne
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
ff,
profélève,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fdanus,
Lesbienne
L’histoire que je vous propose remonte aux années soixante. Je venais de terminer un stage en Grande-Bretagne qui couronnait en principe ma formation de cadre féminin en ingénierie technico-commerciale. ******************** Nous sommes alors au mois de juillet. De retour en France avec deux mois de liberté, l’envie me vient de reprendre contact avec Évelyne, que j’avais connue bien plus jeune. Elle semble surprise : — Mon Dieu, Roxane, qu’est-ce qui t’amène vers moi ? Comment vas-tu ? Raconte-moi tout !— Bien sûr, Évelyne, dès que vous m’aurez invitée à prendre le thé. Elle éclate de rire. — Quand viens-tu me voir ?— Dans un quart d’heure, je suis chez vous, si je ne vous dérange pas.— Le thé sera prêt ! Quand elle m’ouvre sa porte, je suis éblouie. Sa beauté, intacte en dépit des années écoulées depuis ma précédente visite, me laisse un peu intimidée sur le seuil ; elle en est certainement flattée, les femmes comme elle ne manquent pas ce genre de choses. Installées dans son salon, côte à côte sur le canapé, nous échangeons les nouvelles. Je ne vois toujours pas d’anneau à sa main gauche, elle me dévisage en souriant chaleureusement et me prie d’abandonner le vouvoiement : — Tu n’es plus une gamine, dis-moi « tu » s’il te plaît, sinon je me sens vieille…— Vous plaisan… Tu plaisantes, je pense, tu es une jeune femme magnifique ! Tu vois bien à quel point tu me troubles, j’en déparle ! Son rire s’élève encore, mais elle rougit un peu du compliment. — Et toi donc ! Quelle ...
... beauté tu fais aujourd’hui ! J’imagine que ton carnet d’adresses doit être bien rempli avec tous les jouvenceaux qui te courent après, non ?— Je les couche dans mon carnet, mais pas dans mon lit, hélas ! Non, j’ai bien trop peur de me faire faire un bébé ! Et ensuite, mise en demeure d’assumer soit l’avortement, soit le mariage !— Donc tu t’es dit « Allons voir la vieille et tâchons de la séduire »…— Je t’en prie, Évelyne, ne te moque pas trop d’une pauvre petite fille que tu intimides tellement.— Ho, ho, ho, la friponne que voici ! Viens vite m’embrasser et me demander pardon ! Sinon… Et nous nous dévisageons tandis qu’elle brandit sa main droite. Nous sommes les yeux au fond des yeux, elle veut faire allusion à notre passé d’il y a si ans maintenant… *** J’avais alors dix-sept ans et mes résultats en anglais n’étaient pas brillants ; ma mère pensait qu’il fallait mettre tous les atouts de mon côté pour le baccalauréat qui approchait ; secrétaire dans un lycée de jeunes filles, elle avait sympathisé avec Évelyne, jeune professeur d’anglais. À cette époque, la mixité n’était pas encore la règle dans les établissements scolaires. Elle convint avec Évelyne de m’envoyer chez cette enseignante durant les deux semaines des vacances de Pâques pour une remise à niveau. Dès mon arrivée, le lundi matin, Évelyne m’exposa calmement comment elle comptait s’y prendre pour me faire progresser : chaque jour, après le repas du soir, je lui montrerai mes notes et répondrai à ses questions. Si elle ...