Roxane et Evelyne
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
ff,
profélève,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fdanus,
Lesbienne
... en était satisfaite, la soirée télé ou lecture, voire même sortie-ciné seraient possibles. Sinon elle me donnerait une fessée et, au lit ! En cette première semaine, je reçus trois fessées. Outre le fait que c’était abominable de devoir me faire déculotter, elle faisait terriblement mal, bien que de sa seule main. Il me fallut donc trois séances pour vaincre ma paresse et ce séjour se termina plus agréablement. *** Évelyne est toujours souriante, mais la main en l’air. Je saisis cette main et dépose un gros bisou au fond de la paume. Mon geste tendre la surprend ; nous restons muettes toutes deux, les yeux dans les yeux, puis la conversation reprend : — Sais-tu ce que je souhaite le plus vivement, maintenant que tu as décidé de revenir me voir ?— Non, dis-moi …— Je rêve que tu me décrives tes souvenirs de ces vacances de Pâques … Un silence s’installe, au cours duquel nous nous dévisageons, moi rougissante, elle souriant un peu ironiquement. — Tu m’en demandes beaucoup, là.— Et pourquoi cela ? Je ne vois rien d’insurmontable…— Si tu en as très envie, ça peut se faire, mais à certaines conditions …— Lesquelles, dis-moi vite, je brûle de les entendre.— Il est nécessaire pour moi de te confier des choses graves et importantes à ce propos. Elle garde un visage sérieux : — Je t’écoute.— Il faut que tu saches que ce séjour avec toi fut une expérience qui m’a bouleversée. Son sourire revient : — N’exagérons rien, veux-tu ? Je comprends que je vais avoir du mal à m’expliquer. ...
... Évelyne a environ trente-cinq ans, elle est toujours prof d’anglais dans son lycée, elle me voit encore comme son élève. — Je te demande de me croire. Ma mère a de l’autorité, mais n’a jamais levé la main sur moi.— Elle me l’a dit, elle a même élevé des doutes sur l’efficacité de ma méthode…— Eh bien elle se trompait, comme tu as pu l’observer. Je ne saurais expliquer le pourquoi, mais ta personnalité m’a de suite subjuguée, je ne pouvais qu’accepter sans discuter tes décisions même quand il s’agissait de me laisser déculotter et fouetter de tes claques. Mais mon propos ne s’arrête pas là ; même si j’ai pleuré, même si j’ai eu mal, j’en ai ressenti autre chose.— Et quoi donc, ma chérie ?— Souviens-toi que je n’avais pas de père qui est mort accidentellement alors que je n’étais qu’un bébé. Maman n’a jamais voulu le remplacer, elle a reporté tout son amour sur moi et son amour est immense ; c’est grâce à lui qu’elle a obtenu mon adhésion, mon obéissance.— Fort bien, je comprends, elle a pu se faire obéir sans te fesser, ce qui n’était pas fréquent parmi mes élèves.— Oui, et par ailleurs ton autorité naturelle a fait le reste. Mais il resterait autre chose à expliquer, et ce n’est pas le plus facile… J’ai probablement piqué un fard à ce moment-là et son métier lui a permis de redoubler d’attention à mon égard. — Je suis tout ouïe, a-t-elle murmuré…— Eh bien imagine, ou essaie d’imaginer que longtemps après ces fessées d’enfer, on peut oublier bien des choses, même la douleur, plus ou ...