Roxane et Evelyne
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
ff,
profélève,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fdanus,
Lesbienne
... moins, mais pas le trouble ressenti dans le bas-ventre…— Ah bien ! Nous y voilà, cela n’est pas facile à reconnaître, c’est sûr, mais nous pourrions peut-être aller plus loin dans ce domaine.— Que veux-tu dire ?— Pour l’instant, rien de plus, nous y reviendrons après nous être désaltérées. Je suppose que tu me feras la joie de rester quelques jours avec moi ?— Avec le plus grand plaisir, à condition que tu me jettes à la rue quand tu n’en pourras plus ! Un grand éclat de rire et nous nous levons toutes deux, elle me propose une visite rapide de sa petite maison. Cuisine, salle-à-manger, toilettes. À l’étage, deux chambres dont la sienne et une salle de bains ainsi qu’un dressing. Nous sommes dans sa chambre ; elle me saisit par la taille, je mets mes mains sur ses épaules, nous nous dévisageons, elle approche ses lèvres des miennes et je ferme les yeux. Un petit bécot tendre, je laisse aller ma joue sur son épaule, je n’ose pas encore poser un baiser sur son cou. — Tu me demandes d’évoquer mes souvenirs de fille fessée, non par ma mère, mais par une adorable jeune femme, et tant qu’on y est, que je te décrive combien tu savais faire mal, quelle était ta science de ce châtiment ; et c’est cela qui te ferait plaisir ? Mais il te manquera toujours le spectacle, n’est-ce pas ?— Qu’à cela ne tienne, ma puce, ne me tente pas trop…— Tu veux déjà recommencer ? Mais c’est quand tu veux, sais-tu ? Toutefois, à cette heure-ci, il se peut que mes cris attirent le voisinage, dis-je en ...
... riant, mais toute rouge de confusion…— Détrompe-toi, ils ont l’habitude, et puis je n’ai pas l’intention de te punir, je ne pense pas que tu le mérites déjà, mais admirer à nouveau ton adorable postérieur, pourquoi pas, j’en serais enchantée !— Eh bien ; fais-toi plaisir, mais ne me fais pas trop mal, s’il te plaît !— Comme tu veux, viens là, fait-elle en s’asseyant au bord du lit et tapotant ses cuisses. Mon cœur bat la chamade, mais je m’exécute. Je me mets en position, elle relève ma robe d’été et caresse mes fesses. — Tiens, tiens, ce n’est plus la petite culotte en coton blanc, on a pris goût à la jolie lingerie, semble-t-il. Et, sans cesser de caresser mon derrière, tandis que mon cœur menace de sauter hors de ma poitrine… — De grâce, Évelyne, ne me fais pas trop languir, je suis affolée d’attendre ainsi la suite… « Bien, bien, » et elle procède à un déculottage délicat et caressant, amenant le sous-vêtement aux genoux. — Voilà, te sens-tu plus à l’aise, comme ceci ?— Hum, non, je crains la suite…— La voici, et elle tapote gentiment chacune de mes fesses tour à tour, n’est-ce pas trop violent pour ma douillette chérie ?— Tu pourrais être un peu plus ferme, peut-être ?— À vos ordres chère mademoiselle, et elle claquette sans violence, je me détends, me relâche, elle le voit bien, et claque un petit peu plus sèchement jusqu’à mon premier « Aïe ! » qui l’arrête net. Elle a repris ses caresses. — Je ne sais pas ce que tu veux vraiment.— Moi non plus, en fait. Ne pourrions-nous ...