1. Roxane et Evelyne


    Datte: 06/03/2021, Catégories: ff, profélève, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fdanus, Lesbienne

    ... écrase ma bouche sur la sienne en manière d’accord. Nous échangeons notre premier long baiser mouillé avec ballet de nos langues. Puis ses mains entament une voluptueuse promenade le long de mon dos, de mes fesses, elle s’agenouille devant moi puis se cache sous mon ample jupe sous laquelle elle baisse ma culotte jusqu’aux pieds. Elle a posé chacune de ses mains sur mes fesses et je sens son visage fourrager dans ma toison, trouver l’ouverture de ma vulve qu’elle embrasse fiévreusement ce qui me fait crier et rire ; elle a même pointé une langue frétillante dans ce pertuis et mon cri devient suraigu. Elle remonte en emmenant ma jupe et me voici presque nue sauf mes pieds encore dans mes chaussures et ma culotte autour de mes chevilles. Elle en profite pour me tapoter les fesses en me murmurant « Sois sage, n’est-ce pas ? » et cette plaisanterie me fait frissonner de crainte, ce qui la fait rire à son tour : — Tu as toujours peur que je te fesse, tu as raison, cela viendra, mais tu aimeras.— Toi aussi, car je me vengerai. Sans un mot, elle m’empoigne par la taille, m’entraîne jusqu’au lit où elle s’assoit et me dépose en travers de ses cuisses. Quatre grandes claques, deux sur chaque fesse me font hurler et je lui échappe comme un ludion, mais m’entrave aussitôt à cause de ma culotte et m’étale piteusement. Elle est morte de rire ! Elle finit par venir m’aider à me relever en se gaussant : — Allons mon bébé, tu vois comme tu es trop jeune pour vouloir me défier, il me faut ...
    ... finir de te déshabiller, te laver puis te coucher et si tu me demandes pardon tête basse, tu n’auras pas d’autres grosses claques sur ton mignon petit cul, du moins pour ce soir. Je décide de n’adopter que la passivité la plus totale ; elle m’étale sur le lit, me retire mes sandales et ma culotte, dégrafe ma robe et mon soutien-gorge. Elle embrasse mes mamelons, une main caressante sur mon pubis, un doigt qui furète entre mes lèvres et, les trouvant sans doute accueillantes, s’introduit. Décidément, elle semble très impatiente d’explorer mon intimité, sa langue vient remplacer son doigt et me pénétrer. C’est la première fois que j’ai là une langue féminine, j’en suis très troublée, car il me semble que c’est plus doux et plus câlin que celle d’un homme ; elle commence tout doucement, dégustant cette nouvelle gourmandise, un nouveau bonbon pour elle, accompagné de son sirop ; puis elle progresse lentement jusqu’au fruit de ce jardin et le premier contact me fait sursauter avec un petit cri. J’ai doucement posé mes mains sur ses cheveux et mon bassin a entamé une timide ondulation appelant la caresse intime qui n’a pas manqué de venir et de me propulser jusqu’au paradis. Après un gros soupir, je rouvre les yeux et elle me dit : — C’est bon, cela, mon petit amour ?— Assez, oui, mais j’en veux encore, s’il te plaît.— N’aie crainte, mon cœur, ce n’est qu’un début ; je vais maintenant te faire une autre caresse. Lève tes cuisses jusqu’à ce que tes genoux touchent tes seins : voilà ...
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