1. Roxane et Evelyne


    Datte: 06/03/2021, Catégories: ff, profélève, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fdanus, Lesbienne

    ... l’ont confiée quelques jours pour améliorer son anglais, et sa maman m’a glissé dans le tuyau de l’oreille que j’avais leur autorisation pour me montrer aussi sévère qu’il le faudrait, exactement comme ta propre maman l’avait fait pour toi.— Ah, d’accord ! Et comme moi, s’est-elle vite fait masser le popotin ?— Bien sûr, comme toi… Mais je crois qu’elle a mieux aimé…— Eh bien !… Comment ça s’est traduit ?— Stop !— Que veux-tu dire ? Ah, je vois, je suis déjà trop curieuse ?…— …— Bon, bien, je me tais, je te promets de me tenir sage tout de suite… Ne me punis pas trop ce soir, j’ai déjà honte de moi… On parle d’autre chose ?— Non, on continue, car j’ai encore bien d’autres choses à te dire à son sujet, mais tu fermes ton tiroir à questions, d’accord ? Ou bien tes fesses vont encore m’assurer de ta discrétion, OK ?… Bien. Je vais répondre simplement et tu t’en contenteras pour l’instant : contrairement à toi, il se trouve qu’elle aime être fessée. Un point c’est tout. Demain je vais l’appeler, puis si elle est là et peut venir me voir, je te dirai ensuite comment procéder. En attendant, allons nous coucher et refaire nos forces, tu veux bien ? La douche ensemble, pleine de caresses, une petite fessée pour rire et hop dans les bras de Morphée. Le lendemain vendredi, Évelyne téléphone et obtient facilement Manon qui est seule, ses parents partis pour plusieurs jours. Elle saute de joie d’être invitée, surtout quand Évelyne lui propose d’aller la chercher. Elle me précise : — ...
    ... Je lui parlerai de toi dans la voiture ; je t’inventerai prof d’anglais comme moi, et en congés d’été de ton poste de répétitrice de français en Écosse. Pour la rassurer, nous allons faire le lit dans la chambre d’amis. Le moment délicat sera ce soir au coucher, tu devines ? Et d’ici là, ne sois pas surprise de ma tendresse avec elle, je vais la cajoler, sans quoi elle ne comprendrait pas ma froideur…— Sois sans crainte, je m’appliquerai à bien faire attention à tous tes signaux.— Telle que je la connais, je ne pense pas qu’elle te manifeste la moindre hostilité, c’est une gentille gamine, vous allez être copines comme cochonnes, j’en suis sûre. De fait le premier contact été facile, comme la suite d’ailleurs. Ce fut un festival de sourires et de grimaces de complicité, au point que je m’en ouvris à Évelyne dès que nous eûmes un instant d’intimité : — Je rêve ou bien elle m’allume ?— Non, la pauvre, elle ne sait quoi faire pour te charmer, c’est vrai, mais c’est bien innocent, enfantin, une façon de s’entourer de sympathie, de se faire pardonner mon empressement à son égard.— Je te crois, tu la connais bien, j’imagine ; mais tu sais que j’ai du mal à ne pas la prendre dans mes bras pour la choyer moi aussi ?— Du calme, chérie, il n’y a que moi ici qui ai tous les droits ou bien gare à tes fesses et en public, encore ! Cette menace, je la considère au sérieux. Après le déjeuner au petit bistrot, dans une ambiance nourrie d’éclats de rire, nous partons en promenade, Éveline et ...
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