1. Élodie, toi et ta famille je vous adore (3)


    Datte: 07/03/2021, Catégories: Lesbienne

    Salut c’est votre folle de lycra. Dans le cadre de mes études, j’étais venue vivre chez ma meilleure amie Élodie et ses parents, dont la maman était la meilleure amie de ma mère. Avec Élodie nous étions complices au point d’avoir des relations sexuelles régulières et voilà que la maman rentrait dans notre cercle, tout comme le papa ce matin-là. J’étais donc réveillée par de douces caresses, et un baiser bien gourmand de la part du papa, alors que j’étais dans le lit d’Élodie et que nous venions de dormir ensemble. Pour la première fois, la veille j’avais donné du plaisir à Gilles, son papa, mais manifestement il en redemandait. De sa main droite, il était en train de me faire reluire le berlingot, je peux vous garantir que j’adorais ce genre de réveil. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes, qu’Elodie a fini par ouvrir un œil, bien que je ne me sois pas cachée, je me sentais un peu mal à l’aise que son papa soit en train de me chatouiller le bijou, alors que j’étais à côté d’elle. J’ai été un peu écœurée, quand j’ai constaté que Gilles était maintenant en train d’alterner ses caresses entre mon minou et celui de sa fille. Au fond de moi, j’étais en train de me dire qu’il était en train de faire une mixture entre nos deux cyprines, ça par contre, cela m’excitait. Pendant que son père m’embrassait, Élodie s’était mise à me caresser le visage et aussi mes cheveux longs. Une symbiose parfaite était en train de naître, au niveau sexuel entre nous quatre. La façon dont il ...
    ... embrassait donnait envie de l’embrasser avec encore plus de passion et de gourmandise. Je me demandais ce qu’allait penser Caroline si elle nous surprenait à partager ce petit moment de sexe avec son mari. En même temps il y avait de fortes chances qu’elle soit au courant manifestement, ces deux parents ne se cachaient pas grand-chose. Maintenant Gilles était toujours en train de nous faire gonfler la mouflette, mais en plus il me donnait à sucer ses doigts inquisiteurs. Élodie me regardait lui nettoyer les doigts avec un sourire, mais aussi avec envie, sans doute de faire la même chose. Maintenant Élodie s’était redressée pour prendre la place de son père, afin de pouvoir m’embrasser, ce dernier s’était glissé sous les draps pour me toiletter l’abricot. — Je vois que vous vous amusez bien sans moi. — Et toi mon chéri, elle a l’air de beaucoup te plaire notre petite Sophie. — Pour y avoir goûté, je reconnais que c’est vraiment un délice que de la picorer. — Sophie tu as un corps qui appelle l’amour, je comprends parfaitement que mon mari ne puisse y résister. J’étais la seule à être gênée par la présence de Caroline, car sa fille et son mari continuaient à m’embrasser et me câliner le joyau. Quand la maman est venue se mettre du côté de sa fille, pour glisser ses mains sous la couette et me caresser la poitrine qui ne demandait que ça, j’ai commencé à pousser des petits cris de plaisir. Ses mains étaient fraîches, mais je m’en suis très vite accommodée, et rapidement, elle s’est mise ...
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