1. Élodie, toi et ta famille je vous adore (3)


    Datte: 07/03/2021, Catégories: Lesbienne

    ... à jouer avec la pointe de mes tétons. Elle me les tirait, elle me les pinçait, elle me les écrasait et par-dessus ça elle me malaxait la poitrine. Un tel traitement a fait que, rapidement la jouissance était en train de poindre son nez. Je contractais mon ventre et je tortillais mon corps, Caroline a rapidement compris ce qui était en train de se passer. — Alors ma chérie, tu as l’air d’apprécier ce que Gilles, Élodie et moi te faisons. — Tu vas voir, tu vas en prendre l’habitude et surtout y prendre goût. — Nous sommes une famille très libérée. — Quelque part, tu en fais un peu partie. — Car je pense que si ta maman était là, elle serait aussi à ton chevet. C’est sur ces mots, que je me suis mise à jouir, d’une façon nouvelle par son intensité. Heureusement que ma copine d’enfance était là pour étouffer mes cris, quand j’ai senti sa langue qui se promenait dans ma bouche, je n’ai pu faire autre chose que me taire et échanger ce baiser avec elle. J’étais en train de penser à ma mère, qui devait être toute seule à la maison, je réalisais que le réveil que l’on était en train de m’offrir était vraiment formidable. Mon plaisir a tellement été intense, que finalement je me suis rendormie pour une heure dans les bras d’Elodie. C’est un SMS de ma maman qui m’a réveillé pour savoir comment se passait le week-end. Ma mère savait que j’avais des rapports sexuels avec Élodie mais je ne lui avais pas avoué que même la maman me faisait du bien. — J’espère que tu t’entends bien avec ma ...
    ... meilleure amie et son mari. — J’espère aussi que tu ne fais pas trop de folies de ton corps avec Élodie. Il n’y a pas à dire, cela n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde, comme quoi je m’envoyais en l’air avec la fille de son amie d’enfance. — Un jour il faudra que Caroline et moi vous avouions des choses que nous avons vécues dans notre jeunesse. Cette phrase, pleine de mystère me posait nombre d’interrogations, que nous avaient-elles cachées depuis si longtemps à Élodie et moi. Je n’ai pas eu trop le temps de méditer sur cette phrase mystérieuse, car Élodie se réveillait et elle voulait que nous allions nous remplir le vide, avant de nous mettre à travailler. Même si Élodie avait changé d’orientation scolaire, toutes les deux étions quand même toujours très sérieuses en classe. C’est donc vers l’heure de midi que nous avons pris un petit en-cas, il faisait office de petit-déjeuner et déjeuner. De temps à autre ma copine d’enfance venait me voir dans ma chambre, elle ne m’embrassait pas, elle était debout derrière moi alors que j’étais assise sur ma chaise à étudier. Là elle posait ses mains sur mes épaules pour me les masser, ou plutôt caresser, puis naturellement, elle descendait vers ma poitrine, pour la encore me caresser et cela me faisait un effet monstre. Au début elle faisait ça par-dessus mes vêtements, mais ensuite ses mains rentraient à l’intérieur. Je sentais alors la chaleur de ses mains sur mon corps qui ne demandait que ça. À partir de ce moment-là, ...
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