Élodie, toi et ta famille je vous adore (3)
Datte: 07/03/2021,
Catégories:
Lesbienne
... rester concentrée sur ce que j’étais en train de faire devenait totalement impossible. Dans ses caresses, elle n’ignorait aucun millimètre carré de mon corps, bref j’étais en train de me faire peloter dans les règles de l’art. Par moments, Élodie se penchait pour me déposer un baiser dans les cheveux il y avait une sensualité croissante dans tout ce qu’elle était en train de me faire. Bien évidemment, mes seins n’ont pas été bien longs à faire savoir qu’ils appréciaient ses caresses. En même temps depuis que nous nous caressions mutuellement, nos corps n’avaient plus de secrets l’un pour l’autre. Je connaissais toutes ses zones érogènes, tout comme Élodie savait où il fallait insister pour me faire partir dans les nuages. Aujourd’hui j’aurais voulu qu’elle descende beaucoup plus bas, à la jonction de mes jambes, mais elle se limitait à ma poitrine. Toutes les deux étions en train de devenir de jeunes femmes, nos corps étaient en train de finir leur mutation. Aux yeux des jeunes de notre âge, nous étions depuis longtemps bien désirables. Je commençais maintenant à soupirer de plaisir, bien évidemment elle m’avait déconcentrée. À l’entendre respirer dans mes cheveux, j’ai l’impression qu’elle aussi était en train de s’exciter. Je sentais la chaleur de sa respiration quand elle expirait, j’avais la sensation d’un petit jet de vapeur dans mes cheveux. Elle venait aussi me caresser le cou, mais surtout y déposer des baisers et c’était formidable. Son parfum qui venait se déposer ...
... sur mes joues, à chaque baiser, me montait à la tête. Maintenant, où que je sois, dès que je sentais ce parfum je pensais à elle et cela me faisait des frissons partout dans le ventre. N’en pouvant plus, j’ai fini par tourner la tête pour essayer de l’embrasser, par bonheur, Élodie est venue à la rencontre de mon baiser désiré. Nos bouches se sont soudées, nos langues se sont retrouvées et c’est un long baiser plein de passion que nous avons échangé. Je ne sais pas pour Élodie mais de mon côté mon entrejambe avait pris l’eau, la connaissant un peu, je pense qu’elle devait être dans le même état que moi. Au moment où j’étais sur le point de me lever et l’emmener sur mon lit pour que nous fassions des folies, Élodie m’a quitté en me disant qu’elle allait me laisser travailler. Je ne sais pas vraiment si c’était de la cruauté ou du sadisme, toujours est-il que je me suis remise à bosser, mais j’avais une forte envie de faire des choses. Je pense que toutes les deux avons travaillé dans notre coin au moins encore deux heures, avant que sa mère ne vienne me chercher pour que nous passions à table. J’appréciais énormément que Caroline fasse tout pour que je me sente bien à l’aise chez eux, j’étais vraiment sa seconde fille. Nous avons mangé tranquillement tous les quatre puis toutes les trois parce que Gilles nous a quittés au milieu du repas pour se mettre à travailler. Après le repas nous sommes montées dans vos chambres, Caroline est venue me retrouver accompagnée de sa fille, ...