Élodie, toi et ta famille je vous adore (3)
Datte: 07/03/2021,
Catégories:
Lesbienne
... caresser les deux petites jeunes que nous étions encore. Durant notre petit-déjeuner, qui était plutôt un breakfast, car nous avons mangé du pâté et des œufs et même des légumes, les thèmes de nos conversations étaient plutôt axés sur nos scolarités. Caroline voulait savoir si je tenais le coup en classe, et je lui ai répondu par l’affirmative, par contre cela nécessitait un gros travail personnel de ma part. Elle voulait surtout savoir ce que je désirais faire plus tard par rapport au diplôme obtenu, personnellement je me voyais plus m’orienter vers la recherche. Pendant tout le repas nous avons été sages, ce n’est que vers la fin que Caroline a redressé le couvert au sujet du sex-toy. Elle nous a confié l’avoir lavé et comptait nous le passer pour que nous puissions nous amuser ensemble. — Je suis sûre que vous allez beaucoup apprécier un tel joujou. — Peut-être qu’un jour, si vous êtes sages, vous aurez même le droit de vous occuper de moi avec. Au fond de moi j’étais pressée de pouvoir faire des folies avec Élodie, aidées de ce joujou de latex. J’ai eu la sensation d’être privilégiée par rapport à Élodie, car c’est à moi que Caroline a donné de gode à ceinture. — Mes chéries, je vous imagine parfaitement toutes les deux en train de jouer avec ça. Cela ...
... me faisait tout drôle de le tenir en main, il y avait deux sexes qui s’opposaient l’un à l’autre. C’est accompagnée d’Élodie, que je suis repartie dans ma chambre, pour aller le cacher sous les draps sous les yeux de mon amie. Rien que de l’avoir saisi quelques instants, cela m’avait fait mouiller de nouveau ma culotte. Il y a des fois je me disais qu’Élodie et moi étions en train de devenir de sacrées cochonnes, très portées sur le sexe, cela n’avait pas l’air de déranger sa maman et encore moins Gilles. Après le repas nous sommes parties, Élodie et moi, faire des achats, cela a été plus fort que nous, dès que nous nous sommes retrouvées dans une cabine d’essayage, il a fallu que nous embrassions nous caressions et nous donnions du plaisir. Ce qui nous excitait le plus dans ces moments-là, c’est la peur de nous faire surprendre. Je vais même vous avouer que nous avions trouvé quelques boutiques, où les vendeuses n’étaient pas contre un petit coup de langue de notre part. Il y a même des fois où nous avions pris grand plaisir à faire découvrir les désirs saphiques à des vendeuses et même une patronne de magasin. Mais ça, nous en parlerons dans un prochain chapitre. En espérant que ce troisième chapitre vous plaise autant que les deux premiers. Bisous à vous.