Tante Jacky dans la grange
Datte: 08/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
extracon,
alliance,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
amourcach,
prememois,
... de cette délicate sensation de crispation que tout mon bas-ventre éprouvait. Ho ! Comme j’aurais dardé mon pénis dans cette riche toison si généreusement offerte ! Je constatai que les sourcils de mon oncle Jacob se froncèrent un moment. Jacky, encore haletante, rouvrit les yeux et constata que Jacob lui caressait toujours les seins, mais elle vit alors qu’il dirigeait son regard vers l’extérieur de la grange, comme pour voir si Paul n’était pas revenu pendant que la passion les avait coupés du monde. Revenant à la dure réalité, il se releva brusquement, remontant d’un geste rapide son pantalon, sans jeter un coup d’œil vers tante Jacky qui, toujours étendue sur le foin sec, laissa son bassin redescendre, comme contrite de ne pas avoir été comprise. Son regard se portait tout entier sur l’homme qui venait de lui procurer tant de plaisir. Elle ne bougeait plus, espérant qu’il comprendrait que tout son corps désirait que cet homme revienne se souder à sa chair pour leur plus grand plaisir commun. Devant son inertie et alors que Jacob continuait à rajuster ses vêtements, elle comprit que cette incartade était bel et bien terminée. Une moue s’exprima nettement sur son visage. Comme résignée, elle fit se glisser ses longues jambes langoureusement sur le foin en les refermant. Tante Jacky ferma les yeux et soupira si fort que je l’entendis aussi bien que si j’avais été plaqué à sa magnifique poitrine. Ses cuisses étaient maintenant fermement pressées l’une contre l’autre. Par un ...
... mouvement ondulatoire du bassin, elle semblait frotter avec délices ses lèvres vaginales ensemble, comme pour préserver l’intense plaisir qu’elle venait de vivre en elle et le faire perdurer, ravivant ainsi les sublimes sensations qu’ils venaient de partager. Le charme fut rompu quelque peu par l’oncle Jacob qui, maladroitement, la voyant agir ainsi, partit à rire en lui disant : — Voyons, la petite belle-sœur, la petite cochonne se réveille en toi. Il faudrait songer à rentrer à la maison au lieu de passer la journée à fourrer. Allez, debout et habille-toi. Moi, il me faut aller réparer la clôture. Tante Jacky, au lieu de s’offusquer du ton brusque de mon oncle Jacob, éclata de rire. Elle lui dit sur un ton moqueur : — Toi, mon vicelard, tu ne comprendras jamais les femmes. Approche. J’ai encore besoin de toi. Devant son hésitation, et surtout en raison du fait que mon oncle Jacob s’était cambré en relevant le torse comme pour lui signifier sa complète désapprobation, de la main, elle lui fit signe de s’approcher d’elle. Une moue sur son visage indiquant clairement son impatience, mon oncle Jacob s’approcha d’elle pendant qu’elle écartait largement les jambes pour qu’il puisse s’approcher le plus près possible d’elle. Comme il ouvrait la bouche pour exprimer le début de colère qui se levait en lui devant le comportement quémandeur qu’il lui attribuait alors, elle appuya fermement ses mains dans le foin et d’un mouvement extrêmement rapide et souple, en s’aidant d’un magistral ...