Tante Jacky dans la grange
Datte: 08/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
extracon,
alliance,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
amourcach,
prememois,
... relevé du bassin, elle éleva ses jambes dans les airs et les rabattit sur les épaules de mon oncle. Puis elle referma ses chevilles comme pour emprisonner le cou de son amant entre ses jambes séduisantes. Un peu abasourdi par un tel geste et ne comprenant décidément pas le moins du monde les intentions de la belle, il s’apprêtait à repousser ses jambes quand elle lui sourit avec tendresse et lui dit : — Écoute, mon grand nigaud. Je ne voulais pas que tu me prennes encore, c’est vrai, car tu peux me mettre enceinte à tout moment. Tu ne m’écoutes pas quand je te le dis. Alors voilà, tu as déchargé en moi deux fois cette fois-ci et je veux garder un peu de ta décharge profondément en moi. Si j’ai à tomber enceinte, aussi bien que ce soit maintenant. Après, tu pourras me fourrer tant que tu voudras. Il resta bouche bée et vous pouvez me croire, moi aussi je n’en croyais pas ces paroles. Lentement elle reprit : — Tu le sais. Chaque fois que tu me pognes dans un coin et que tu me fourres, je te le dis que je ne veux pas, mais tu sais aussi bien que moi que tu me rends folle en me donnant bien plus de plaisir que je ne le voudrais. Tu le sais que je ne peux pas te résister, alors aujourd’hui, je veux garder en toi ta semence et tant pis. Avec toi j’ai du plaisir comme jamais je ne n’aurais pu le concevoir. Toi et ta grosse queue, tu me fais jouir et j’adore que tu me possèdes. Mais il va falloir que tu comprennes une chose une fois pour toutes. Si tu veux encore me prendre et si, ...
... de cette fois-ci, je ne me retrouve pas déjà engrossée, il va falloir que tu apprennes à décharger sur mon ventre, grand nigaud. Regarde mon sexe. Tu en as mis assez de jus de crosse dedans pour mettre toutes les femmes du village enceintes. Il est temps que tu apprennes à contrôler tes envies, car tu le sais, moi, quand tu me pénètres, je ne peux plus te refuser. Songe un peu que c’est toi qui vas finir par m’engrosser et ton frère va élever un petit bâtard. Mon oncle Jacob l’avait écouté bêtement sans trop comprendre. Il se saisit des jambes de ma tante par les mollets et commença à l’obliger à relâcher son cou, car elle semblait bien le tenailler dans cette prise si particulière. Enfin, il parvint à se libérer de son emprise et laissa les jambes de tante Jacky choir par terre mollement. Il se redressa et s’éloigna un tout petit peu. D’une façon presque arrogante, avec un sourire mi-figue mi-raisin, il lui dit : — Mais voyons, Jacky, on se ressemble tellement Paul et moi que même si c’était moi qui t’engrossais, jamais il ne s’en apercevrait. Tante Jacky sembla lasse soudain. Elle venait de comprendre que cet homme qui savait si bien la faire jouir et la prendre sans qu’elle puisse réellement s’y opposer – quand ce n’était pas elle qui parfois allait au-devant de lui, à ce que j’en compris – le lendemain ferait encore des ravage dans son bas-ventre et cela suffit à lui ramener un certain sourire espiègle. Elle se remit debout et entreprit de reboutonner sa robe. Ils étaient ...