Le Monde perdu
Datte: 10/03/2021,
Catégories:
fffh,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
sport,
volupté,
hsoumis,
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
sf,
... inoculaient avec une fine seringue un sérum à l’homme, ce qui augmentait les capacités sexuelles, mais démultipliait également la taille du sexe et des bourses. Le corps mâle générait ainsi une quantité de semence largement supérieure à la moyenne des anciens. Balou se remémorait cela. Il ne pouvait plus bouger, attaché à la paroi du box, il vit son employée, vêtue d’une blouse d’infirmière, déposer un support devant son bas-ventre. Cet engin ressemblait à un tube d’une cinquantaine de centimètres, fait d’une matière ressemblant à du latex. La jeune femme sourit à son étalon en prenant entre les doigts le sexe encore flasque de Balou. Elle venait de le « piquer ». Lui, il était angoissé, ne sachant pas à quoi s’attendre vraiment. Ses aînés l’avaient pourtant prévenu. Au début, l’excitation est si forte qu’on se laisse griser par les orgasmes. Mais ensuite, le plaisir peut se transformer en supplice, si le mâle n’est pas en parfaite condition physique. Crampes, spasmes, peuvent devenir insupportables dans ces conditions. L’employée était jeune, mais cela avait-il un sens ? Elle devait certainement boire la semence, elle aussi. Balou la détailla. Petite, brune, cheveux coiffés en nattes, une blouse trop grande pour elle. Elle paraissait nue en dessous. Les doigts fins le masturbaient doucement. " Que c’est bon", se dit-il en gémissant. Sa verge grossissait maintenant à vue d’œil. Il sentait une intense chaleur irradier ses testicules. L’employée ôta sa blouse et se retrouva ...
... nue devant Balou. Celui-ci avait les yeux écarquillés par la beauté féminine, puisque c’était la première fois qu’il voyait un corps de femme nu. Ensuite, l’effroi le saisit aussi lorsqu’il vit sa monstrueuse érection surmontant des bourses volumineuses. — Rassure-toi, tout ira bien, dit la petite brune. Elle avait maintenant stoppé sa caresse. Elle s’agenouilla devant lui, ses petites mains soupesèrent les testicules ovoïdes et admirablement formés, aussi gros qu’une belle tomate, gorgés de ce breuvage si important pour ses sœurs. La hampe également était devenue un vrai gourdin long, au diamètre extraordinaire, ressemblant à celui d’un étalon. Elle admirait son œuvre, de grosses veines bleues couraient sous la fine peau du tronc démesurément allongé. A la vue du gland violacé qui la narguait, elle sentit au creux de son ventre la moiteur du désir l’enflammer toute entière. Elle se passa la langue sur les lèvres. Hélas, il lui était interdit de sucer ce magnifique menhir, sous peine de retenue sur salaire. Contrairement à ce que pensait Balou, elle était pucelle, jamais elle n’avait pu goûter à un sexe d’homme. Pourtant, elle en voyait des centaines, mais c’était le prix à payer pour officier dans ce laboratoire. Balou vit son accompagnatrice approcher le tube de latex devant le gland. Cet engin était relié par un tuyau à un appareil s’apparentant à un alambic, fait d’un enchevêtrement de durites en tout genre. La jeune femme logea sa verge dans ce fourreau jusqu’à la garde. ...