Le Monde perdu
Datte: 10/03/2021,
Catégories:
fffh,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
sport,
volupté,
hsoumis,
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
sf,
... Immédiatement, Balou ressentit une agréable douceur envelopper son sexe devenu monstrueux, comme celui d’un incube. Il transpirait, ses bourses semblaient animées d’une vie propre, il sentait la semence vibrer. Le tube de latex s’anima aussi. Il bougeait, le serrait, le caressait. Il ferma les yeux, c’était sublime. La petite brune se colla, nue, à ses côtés, elle lui massait le torse, elle embrassait sa poitrine velue, puis elle enfourna sa langue dans sa bouche, le violant buccalement. Balou était aux anges. — Tout doux, jeune homme. Je suis avec toi pour t’aider, susurra l’employée. Balou perdait pied, il entendait des cris, des gémissements, mêlés de hurlements dans les boxes alentour. Où était-il ? Le tube de latex continuait à le pomper, à le masser. C’était merveilleux. Il avait oublié son sexe hors norme. Une gigantesque vague de bonheur allait déferler bientôt en lui, il ressentait le plaisir croître dans le creux de ses reins. La jeune femme brune quitta sa bouche. Elle s’agenouilla à nouveau devant lui, et elle prit entre ses petites mains les bourses pleines de Balou, qu’elle lécha doucement. Balou haletait. Il vit le tube de latex augmenter sa cadence de succion, le plaisir montait irrémédiablement dans son membre, la sève serait éjectée dans quelques secondes. Son regard croisa celui de son infirmière, agenouillée à ses pieds… La jouissance suprême. Le jeune mâle se tordit, il explosa en hurlant comme le damné qu’il était. Encore et encore, il éjacula dans ...
... cette bouche artificielle qui n’arrêtait pas de pomper son essence. Ses testicules se vidèrent longuement, son sexe expulsait interminablement la récolte des femmes. Balou eut l’impression qu’il allait être aspiré par cet infernal cylindre de plaisir. Jamais il n’avait connu une telle extase. Un bonheur inégalé le faisait vibrer, il frétillait, les tétons de sa poitrine étaient durcis et allongés comme jamais, ses jambes tremblaient, la sueur ruisselait sur son visage. ***** — La moisson a été particulièrement bonne, tu es très prometteur, jeune étalon, dit la femme en lui déposant un doux baiser sur le front.— Je n’en peux plus, gémit Balou. Il était à bout de souffle, comme s’il avait couru un marathon. — Ne t’inquiète pas, nous recommencerons dans quelques instants, mon beau. Balou la regarda ahuri, comment pourrait-il continuer ? Il comprit, là, en cet instant, les conseils et les craintes de ses aînés. — Mais c’est impossible, Madame ! cria-t-il.— Je suis avec toi pour t’aider, rappelle-toi. Je veillerai personnellement à ce que tu remplisses ton quota, même si, pour ce premier « jet », tu as été au-delà de mes espérances. Nous formons une équipe, nous réussirons ensemble. Sur ces bonnes paroles, elle se pelotonna contre lui et dessouda le tube de sa verge. Celle-ci avait retrouvé sa taille normale, comme les bourses d’ailleurs. Puis elle actionna une manette. Balou se retrouva à l’horizontale, couché sur la texture douce. — Je m’appelle Maglou, dit l’infirmière. Elle se ...