6 février 2048
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
... chenets en fer forgé et diffusent une douce chaleur dans toute la pièce. L’ambiance est favorable aux bavardages sans importance ; les plats et les vins défilent, et Hélène, éclairée par le chandelier, est d’une beauté saisissante. Son léger maquillage souligne ses pommettes hautes et ses yeux en amande. Sa robe au décolleté sage laisse apparaître ses beaux seins soutenus par un soutien-gorge en dentelle couleur chair à peine visible. Nous vivons un instant délicieux. L’alcool aidant, les confidences deviennent intimes. Je sens sa jambe se rapprocher sous la table, son buste s’avancer et sa main saisir la mienne. À son grand étonnement, je casse d’un coup l’élan. Je lis sur son visage de l’étonnement, et aussi de la fureur. — Non, Hélène, vous êtes la plus belle femme qu’il m’ait été donné de rencontrer, mais je ne suis pas actuellement en position de lier une relation avec vous.— Qui vous parle d’une relation de longue durée ?— C’est justement ce que je recherche ; vous auriez dû le comprendre au cours de notre conversation. Ou peut-être me suis-je mal expliqué.— Pourtant, vous avez bien baisé avec cette salope de Claire ! Vous me trouvez trop vieille ? La fureur déforme son visage ; l’alcool a désinhibé ses instincts de chasseresse, et la soirée vire doucement au cauchemar. — Je crois qu’il est temps de rentrer, ne croyez-vous pas, Hélène ? Nous n’échangeons pas un mot dans la voiture. Elle n’a pas enclenché la conduite automatique ; elle s’accroche nerveusement au volant ...
... et fait craquer les vitesses. Arrivés au premier étage, nous nous séparons. — Bonsoir, Monsieur Renard, me crache-t-elle à la figure en s’éloignant. J’ai du mal à trouver le sommeil. La soirée avec mon hôtesse a été délicieuse dans un premier temps, mais la quantité inhabituelle d’alcool servi a produit un effet délétère sur la fin de soirée, et en plus m’a donné soif. Je descends deux étages pour me trouver au niveau de l’office ; la pièce du fond est éclairée. Je trouve Selma attablée, dévorant une cuisse de poulet. Elle me regarde, un peu étonnée, vêtue d’un long tee-shirt à même la peau, les cheveux mouillés cascadant sur ses épaules. Elle n’est plus cette personne stricte ; elle dégage une aura de féminité que je n’avais pas remarquée jusqu’à présent. — Vous finissez tard, ce soir.— Oui, et en plus je me lève tôt demain matin. Je suis étonnée de vous retrouver ici ; je sais que vous sortiez avec Hélène. En général, ce n’est pas désintéressé. Je sens, dans sa voix, une petite pointe de jalousie devant la plastique de sa patronne comparée à la sienne. — Je n’ai, en principe, pas l’habitude de coucher avec la petite-fille de mon employeur, même si c’est une superbe femme. C’est la première fois qu’elle me sourit. Je me sers un verre d’eau pétillante et m’assois. Elle se lève pour récupérer un plat dans le micro-ondes. Le tee-shirt large descend à mi-cuisses et gomme ses formes androgynes. — Vous possédez un CV impressionnant. La première fois que nous nous sommes rencontrés, ...