Banquière perverse (22)
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
Hétéro
... elle me l’aurait offert. — Dis-moi, elle était vraiment amoureuse de toi ? — Oui, elle me l’a dit ; elle voulait qu’on se marie. — Pauvre femme, elle me fait de la peine ; je pense qu’il faut qu’on fasse quelque chose pour elle. — Oui, mais quoi ? — T’inquiète, j’ai mon idée ; mais avant je dois lui parler, demain. — Tant que nous sommes dans les confidences, cela voulait dire quoi le : « On fait comme ça » que vous vous êtes dit quand je suis entré dans la chambre ce matin ? — Ah, ah... ! Monsieur veut tout savoir ! Monsieur se pose des questions ! Monsieur serait-il jaloux ? — Pas du tout ! Piqué au vif, j’interromps. Je voulais juste savoir, alors ? — Désolé... Secret de femme ! Je te le dirai un jour... Peut-être. Bon assez discuté ! Caresse-moi ; j’ai envie de toi, j’ai envie d’Amour, j’ai envie que tu me fasses vibrer, que tu me fasses grimper au septième ciel ! — À vos ordres... Ma Chérie ! Elle veut de la douceur, de la sensualité, elle veut vibrer - comme elle dit - alors je vais lui faire : Seules ses épaules et sa tête au teint hâlé émergent de dessous le drap en satin gris argenté de la parure de lit. Son visage ressemble à un bijou posé sur un écrin, ses cheveux dorés illuminent le tableau, souligné par ses fines épaules nues. Tout son corps semble moulé par le tissu et chaque détail apporte encore plus d’érotisme à cette scène. Le drap épouse ses seins et ses tétons, je peux voir la forme de son nombril et aussi son entrejambe légèrement ouverte. Doucement, je ...
... glisse mon bras pour que sa nuque repose dans le creux de mon coude, elle roule un peu, se laisse faire me regarde et me sourit. Les doigts de ma main libre suivent les contours de son visage, se perdent dans ses cheveux pour revenir effleurer ses lèvres qui s’entrouvrent ; sa langue lèche délicatement mes doigts. Elle ferme les yeux, je vais chercher un doux baiser pour ensuite aller bousculer sa langue et gouter sa salive. Pendant le baiser ma main a quitté son visage pour caresser le tissu soyeux, je la sens respirer avec calme ; mes doigts cherchent ses tétons qui au contact se dressent encore plus. Je sais que les caresses à travers la soie ou le satin amplifier la sensation de douceur et augmentent considérablement la montée du plaisir ; alors je m’applique. Je libère mon bras de dessous sa nuque sans la découvrir, et je fais glisser le drap qui me recouvre. Assis en tailleur juste à côté d’elle ; j’œuvre maintenant avec passion afin de l’amener doucement à l’orgasme. Pendant que ma main droite découvre sa poitrine, ses bras et son ventre ; mon autre main glisse sur ses cuisses, son pubis, ses reins, et creuse le drap à son entrejambe. Elle soupire doucement, son visage change d’expression à chaque caresse ; parfois elle ondule légèrement, et je vois aussi (malgré le drap) ses doigts agripper le matelas et se relâcher doucement. Pendant que ma main droite insiste de plus en plus sur ses seins et ses mamelons, l’autre s’active sur son minou ; je sens son bouton au travers ...