Banquière perverse (22)
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
Hétéro
... comme moi ? Interroge Gladice. — Exactement ! — Alors servez-vous, et vous ne m’avez pas ausculté, là, avec votre outil ! Dit-elle en repoussant les draps d’un coup de pied et en ouvrant sa robe de chambre en satin. — Ah, non ! Pas comme cela, il me faut du romantisme avec des fleurs, un repas au resto, et surtout une tenue sexy ; et puis il y a ton homme ! — Hum... ! Peut-être que mon homme, comme vous dites, aimerait bien voir sa chérie se faire sauter par un autre homme ; qu’en penses-tu mon Amour ? La réponse sera pour plus tard, car Jelila vient d’entrer dans la chambre avec un sachet à la main. — Voilà, il y a tout ; je n’ai pas été trop longue ? Bon, de quoi parliez-vous car votre conversation semble s’être arrêtée brusquement ? — Ma chère, je pense que notre patiente va beaucoup mieux... — Eh bien, m’en voilà réjouie et... ? — Nous parlions de cul ! — Une partie à quatre pour ce soir ? — Non Madame ! Je demandais si toi et Philippe ne feriez pas un beau couple ? — Vous plaisantez ! Moi et le toubib ! Mais là, je suis cocu dix fois par jour ! C’est un coureur de jupons invétéré ! Et en plus, il n’est pas mon type d’homme sauf pour un plan cul ! Bon, on mange, j’ai faim ! Le repas, apprécié par tous, se déroule dans le calme sauf quand après un long silence, Jelila prend la parole : — Gladice, Issam, j’ai réfléchi et je voulais vous dire que demain ne vous occupez pas de moi. Je vais préparer les affaires de ma fille et aller aux États-Unis, je pense qu’elle a besoin de ...
... moi ; alors j’y resterai une semaine. — Si tu veux, Jelila ; je veux bien t’aider à préparer ces affaires, intervient Gladice. — Pourquoi ? — Je connais les vêtements qu’elle préfère et je voudrais y ajouter un petit quelque chose. — Que veux-tu ajouter ? — Une lettre ! — Ah, je vois !... Alors c’est d’accord ? Pendant la suite du repas, Philippe nous raconte des histoires grivoises ce qui pour effet de détendre l’atmosphère. Une fois que nous avons desservi la table, et prétextant un besoin de parler. Jelila et Philippe nous ont abandonnés. Nous voici tous les deux seuls, je prends une bonne douche histoire de faire disparaître l’odeur de mouton et de merguez que je traîne derrière moi. nufnxxig Au sortir de la douche, je découvre ma douce, réfugiée sous le drap en satin qui épouse admirablement bien les formes de son corps. Ses yeux clos me font croire qu’elle dort. Ses tétons exacerbés pointent fortement et m’offrent la vue de deux pics si attirants ; je me glisse sous le drap. Elle ouvre les yeux, me sourit et attrape mon membre qu’elle serre très fort, elle tire dessus comme pour l’allonger ; je suis obligé de m’approcher au plus près d’elle. Je glisse mon bras sous sa nuque, elle vient se blottir dans le creux de mon épaule et en chien de fusil elle pose sa cuisse sur les miennes. — Humm... Comme tu sens bon ! Un cadeau de... Madame ? — Tu aimes ? Oui c’est elle que me l’a offert. — Elle te draguait à fond ! — Oui, je crois que j’aurais pu lui demander n’importe quoi ; ...