Banquière perverse (22)
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
Hétéro
Rappel du chapitre précédent. Après nous avoir décrit en détail ses mésaventures, Gladice se reposa, puis nous avons fait l’amour ou presque, car nous ne sommes pas arrivés à l’orgasme. Ma Chérie préférait attendre un peu pour que nous puissions le lui faire dans l’intimité, pour fêter nos retrouvailles en quelque sorte. Jelila fit venir un ami médecin pour ausculter et parler avec Gladice afin de la soigner et l’aider à supporter l’épreuve qu’elle venait de subir. Jelila invita le médecin à manger avec nous un couscous si apprécié, et dont je suis particulièrement fier ; c’est une recette de ma mère que je reproduis avec amour. J’avais aussi assisté - au travers de la fenêtre de la cuisine - au départ de Lacksimy qui m’avait plongé dans une profonde tristesse. — ooOoo — Pendant que la viande et les légumes cuisent, je décide d’aller prendre une douche pour me calmer et me remettre les idées en places ; je ne veux pas qu’on, et surtout pas Gladice, ne me voit larmoyant. Je me dirige vers la chambre de Jelila pour y utiliser sa salle de bain, et une fois rafraîchi et habillé je découvre en sortant de la pièce Jelila assise sur son lit. Prostrée, la tête entre ses mains elle pleure, je m’approche d’elle et pose ma main sur son épaule ; surprise, elle sursaute et je lui dis. — Jelila, je comprends et partage ta peine. Elle se redresse et m’offre un visage dévasté par les larmes de chagrin, elles coulent sur ses joues ; c’est la première fois que je la vois dans cet état, elle me ...
... touche beaucoup. — Issam, je suis vraiment désolée pour ce qu’il s’est passé, me dit-elle entre deux sanglots ; je ne sais pas comment me faire pardonner. — Écoute-moi, oublions cela car tu n’y es pour rien et reprenons la vie ; il faut aider Gladice à guérir, c’est tout. Lève-toi, prends une douche, fais-toi belle et viens nous rejoindre car je pense qu’ils ont terminé. Moi aussi j’ai de la peine pour Gladice mais aussi pour ta fille, mais nous devons leur montrer le meilleur de nous-mêmes ; nous devons être forts ! Je lui ordonne. Je suis surpris d’être aussi ferme avec ma patronne, mais le résultat est là ; elle se lève d’un bond. — Tu as raison, acquiesce Jelila. Allez, secouons-nous ; je vais me doucher et toi tu as du boulot en cuisine ! Je suis content de la voir retrouver son énergie, ravi ; je retourne en cuisine. En passant devant la porte de la chambre de Gladice, je constate que la porte est toujours fermée et en conclus que le toubib n’en a pas fini. Mon plat est presque prêt, il ne me reste plus que la semoule à rouler et à faire cuire quand Jelila entre dans mon domaine, elle m’informe que le médecin a terminé et que nous mangerions dans la chambre de Gladice. Nous nous mettons au travail pour transformer provisoirement la pièce en salle à manger. Gladice en peignoir de soie et bien calée dans les oreillers ressemble à une reine dominant ses sujets. — Alors Philippe, comment va notre malade ? Interroge Jelila. — Pas trop mal, je lui ai fait une ordonnance pour ...