1. L’agonie


    Datte: 30/10/2017, Catégories: ffh, fhhh, fbi, hsoumis, Oral pénétratio, Partouze / Groupe

    ... Ces étudiants, protégés par le Roi lui-même, ne craignaient personne. Leurs révoltes étaient craintes. La luxure s’était emparée du lieu. Sur une table, une servante, assise cuisses ouvertes, se faisait besogner violemment par un jeune. Devant la grande cheminée, un jeune, agenouillé, honorait la hampe d’un autre. Je pensais que les orgies n’étaient que privilège des seigneurs, je découvrais que le peuple s’y adonnait aussi. Je ne la vis pas. Alors qu’elle était là. Je traversai la salle pour quérir le tavernier. — Monseigneur, la noble dame est à l’étage, elle semble apprécier les vers de ces étudiants. Il se retint de sourire de mon malheur. Je montai l’escalier et à l’étage, au fond du couloir, j’aperçus un groupe devant une porte ouverte. Ils me firent place et s’écartèrent à regret. Je découvris ce qu’ils regardaient. Sur le lit, Suphitia était nue. Ma première réaction fut de la trouver si belle que ma colère retomba. J’étais sous l’effet d’une drogue inconnue : elle. L’orateur de l’après-midi, debout devant elle, répéta les vers : Dans le même temps, il défit son haut-de-chausses et exhiba sa hampe. Suphitia la regarda. Le jeune homme monta à genoux sur le lit, s’avança entre les cuisses blanches jusqu’à ce que son membre se colle au sexe de celle qui s’abandonnait sans pudeur. Il la saisit aux hanches et d’une poussée la pénétra. Elle ne dit rien mais ferma les yeux. — Dame, que vous êtes belle, se perdre dans ce noble ventre est un plaisir que nous n’aurons ...
    ... peut-être plus, mes amis et moi. Souffrez qu’après moi, eux aussi connaissent le plaisir de vous visiter ! Sa tirade déclencha des murmures et les jeunes hommes s’approchèrent du lit. Le meneur donnait de lents coups de reins, se plantant en elle jusqu’à la garde. Chaque coup faisait battre ses seins. L’étudiant releva les cuisses et les rabattit sur le ventre de Suphitia, qui se laissa faire. J’étais moi aussi subjugué par sa beauté et la sensualité de son corps. Elle ouvrit les yeux et me vit. Du regard, elle m’indiqua la place, à ses côtés, à sa tête. Moi, Enguerrand, seigneur de guerre, je m’installai debout à ses côtés, pour veiller sur elle. C’était ce qu’elle attendait de moi. L’étudiant augmenta le rythme de ses coups de reins. Deux autres s’étaient agenouillés sur la couche. Ils étaient nus, le sexe dressé. Ils attendaient leur tour. Ils posèrent leurs mains sur son corps. Elle se cambra à ce contact. L’orateur sortit d’elle et avec brusquerie la fit se retourner à quatre pattes sur la couche. Je vis mieux son visage qui était face à moi. Je vis mieux ses beaux seins pendre sous elle, entre ses bras tendus. L’homme la prit aux hanches et se replanta en elle. Cette fois, elle ne put retenir un gémissement en se cambrant sous la violence de la pénétration. De longues mèches de ses longs cheveux noirs lui barraient le visage. Entre les mèches, elle me fixait. Bouche ouverte, je l’entendis dire son plaisir. Elle aperçut un des membres tendus vers elle et plongea immédiatement ...
«12...567...»