La Caissière (Envie Pressante)
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
inconnu,
nympho,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
fépilée,
toilettes,
odeurs,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
scato,
occasion,
... dents jaunâtres et écartées. L’écarlate lui monte aux joues, je le vois bien, mais elle rompt le contact en commençant à passer les articles sur son scanner. Avec une agilité et une rigueur toutes professionnelles, elle tapote sur son clavier et l’ensemble de mes provisions se retrouve bien vite pêle-mêle en bout de tapis de caisse. Pendant que je finis de verser le tout dans deux gros cabas rouges, elle termine les opérations et me tend ma carte de paiement, les yeux brillants et un sourire malicieux : — Vous pouvez me la mettre… dans la machine ?— Euh… Oui, bien sûr ! Comme vous voulez ! En saisissant ma carte, j’ouvre la main pour lui caresser le bout de ces doigts aux ongles rongés, et je reste en suspens pour voir sa réaction, les yeux plongés dans son regard décidément fascinant. Elle lâche la carte, retourne la main, l’avance et me chatouille la paume. Elle se mord la lèvre inférieure, passe sa langue entre ses dents avec un large sourire. — Si vous avez le temps de m’attendre dix minutes, je vous ferai un petit cadeau, dès que j’aurai fermé ma caisse… Elle a accompagné ces paroles remplies d’alacrité d’un trémoussement ostentatoire du séant sur sa chaise et assorti toute cette mimique d’un sémillant clin d’œil. Je prends un air pensif et je lui réponds : — Euh… Oui,… euh… pourquoi pas… Je n’ai rien prévu ce soir, ce sera sûrement agréable de… euh… bavarder en aussi agréable compagnie que la vôtre… Rigolez pas, je lui ai vraiment dit ça comme ça, même si ça sonne ...
... faux, ampoulé, pédant, et tout et tout. En tout cas, la dame semble ravie et me gratifie à nouveau d’un sourire radieux. — À tout à l’heure, alors… d’ici dix minutes, un quart d’heure… Cette fois, c’est moi qui lui souris ouvertement en récupérant mon ticket de caisse et ma facturette à deux mains, emprisonnant la sienne dans un mouvement de caresser sa peau granuleuse et rêche. Nous échangeons de nouveau des sourires de connivence. J’empoigne mes sacs, lui lance un dernier clin d’œil et pars en hâte déposer tout ça dans mon automobile. Popaul, qui s’était réveillé subitement aux allusions de la caissière, bat la chamade dans mon pantalon. Quelques minutes plus tard, je referme le coffre sur mes courses, l’esprit tout embrouillé. Je me rends compte que, dans l’état d’excitation où elle m’a mis et si les événements prennent une tournure plus « adulte », je n’arriverai pas à retenir mon flot plus de quelques secondes, la dame en sera probablement aussi marrie que moi. J’ouvre la porte de ma voiture, une magnifique Opel Vectra 2.0 dti 16V d’un blanc qui fut immaculé, je m’installe dans le confortable siège baquet et actionne la manette pour faire remonter le volant au maximum. Garé face au garde-fou qui entoure le parking en terrasse, assez loin de la lumière jaunâtre des réverbères au sodium, je ne risque pas d’y être surpris par un passant importun. Je sors un rouleau d’essuie-tout de la boîte à gants, coupe deux feuilles et les pose sur le siège passager, je défais le bouton de ...