La Caissière (Envie Pressante)
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
inconnu,
nympho,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
fépilée,
toilettes,
odeurs,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
scato,
occasion,
... mon pantalon et le tire en emportant mon slip avec lui jusque sur mes genoux : mon phallus émerge, fier, tendu, palpitant, impatient. Je crache dans ma main gauche et, sans ménagement, j’enduis mon sexe de salive, salive qui se mélange avec les restes séchés des érections de la journée et se transforme en un lubrifiant, ma foi, fort efficace. Les pieds calés derrière les pédales, j’entame une lente pollution en peuplant mon esprit d’images de fellations passionnées. Je me branle, à une main d’abord, tout en longueur, en remontant le prépuce bien haut puis en glissant jusqu’à toucher mon pubis mais, bientôt, je pose ma deuxième main au-dessus de la première, pour recouvrir mon gland… Et la retire bien vite : c’est trop sec, ça irrite. Je me racle la gorge, crache à nouveau, replace ma main droite au-dessus de sa symétrique et reprends mes mouvements de va-et-vient : c’est beaucoup mieux comme ça, ça glisse parfaitement, ça fait un bruit mouillé, et bientôt, c’est frénétiquement que je secoue mon sexe, les mains en rotation autant qu’en translation, me renvoyant des ondes de plaisir familières dans tout le corps lorsque la couronne vient frotter contre mon annulaire droit refermé, lorsque mon gland vient buter contre le pouce de la même main. Les battements de mon cœur s’accélèrent, mais les muscles de mes bras se durcissent peu à peu, je voudrais accélérer le mouvement, mais je commence à fatiguer… Et le temps passe ! Je résous de passer à la vitesse supérieure : je retire ma ...
... main gauche, resserre l’étreinte de mes doigts et reprends un rapide va-et-vient en laissant mon index délayer contre le frein. Ça, au moins, même si c’est un peu moins agréable, ça a le mérite d’être efficace : mon esprit est maintenant rempli de culs défoncés, d’anus ouverts, et mon majeur crispé autour de la hampe accompagne en cadence ces vigoureuses sodomies imaginaires. Assez vite, je me tends, je suis tétanisé, mon cul s’est levé du siège, mon cou est brisé dans le creux de l’appuie-tête, ça vient, ça monte, j’ai l’impression de sentir le flux de jus monter dans mon canal déférent, je saisis les feuilles d’essuie-tout précipitamment, le geyser est imminent, ma hampe est parcourue de spasmes rapides, aussi irrépressibles que puissants, un voile passe devant mes yeux, j’emballe mon gland dans le papier… C’est le flash. Une seconde plus tard, une auréole mouillée tache la feuille que je remonte soigneusement le long de la hampe puis sur le contour du gland pour empêcher qu’aucune goutte ne s’en échappe : c’est fou les dégâts que peuvent faire dix millilitres de sperme sur un pantalon et, pire encore, l’odeur que ça dégage quand ça pourrit dans un slip… C’est aussi pour ça que j’utilise l’essuie-tout, car le papier-chiottes a tendance à partir en lambeaux et à laisser du foutre puant partout… C’est sur ces considérations hautement philosophiques que je me refroque et que je sors de ma Vectra, encore un peu sous le coup de mon orgasme fugace, et prêt à en découdre avec ma ...