1. Ride Sally Ride


    Datte: 15/03/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, inconnu, alliance, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, odeurs, ffontaine, Oral fist, double, Partouze / Groupe fsodo, jouet,

    ... hais ! Sally, quant à elle, est rayonnante. Elle arbore un sourire béat ; son regard est fixé sur la Mustang qui rugit. — Hé, Sally, je ne te savais pas admiratrice des belles mécaniques ; tu m’étonnes. À moins que ce soit le fantasme J.R. Ewing ? San détourner son regard, parlant dans le vide : — Qu’elle est belle, et quel charmeur…— Attends, Sally, tu ne vas tomber dans le piège de ce gigolo à deux balles… Toi, la féministe, tu accroches à son style ridicule ?— T’es con, Henry, détends-toi. C’est une belle journée pour notre fille ; c’est un jour de fête exceptionnel. Profitons-en, en l’honneur des mariés. Ne gâche pas la fête, je n’aime que toi. Elle me fait une bise sur les lèvres et se dirige vers notre petite voiture fabriquée en Roumanie. Le cortège s’élance vers la mairie. Arrivé à l’hôtel de ville, tout le monde se gare sur le parking attenant. Par hasard, nous sommes à côté de la berline allemande de Vladis et Guenièvre. C’est mon fantasme qui descend de la voiture. D’abord un escarpin blanc surmonté d’un bas à couture gris fumée, dont je vois, une fraction de seconde, l’attache de la jarretelle sous la courte jupe droite blanche. Guenièvre sort sa tête par la portière, son maquillage est splendide, discret, tout en finesse, avec un rouge à lèvres flamboyant hyper sexy mais pas vulgaire, plutôt glamour. Elle porte un tailleur tout aussi blanc, fermé, serré, qui met en valeur sa taille fine, sa chute de reins vertigineuse et laisse apparaître discrètement le ...
    ... liseré couleur chair de la dentelle du soutien-gorge. — Tu veux mes yeux ? C’est Sally qui me sort de mes rêves, très agacée. — Mais, mon amour, tu l’as dit toi-même : c’est un jour de fête, profitons-en en l’honneur des mariés. Ne gâche pas la fête ; moi aussi, je n’aime que toi. Vladis nous rejoint, dans un costume crème discrètement rayé. Il porte des chaussures blanches pointues, à l’italienne, classe mais un peu proxénète à mon goût. Il prend le bras de ma Guenièvre, et d’autorité l’emmène avec lui. — Allons accueillir les mariés à la descente de la belle américaine. C’est au tour de Guenièvre de me tendre son bras avec un sourire radieux et un clin d’œil pétillant. — Emmène-moi, Henry. Ce couple me surprend une fois de plus par son naturel, séducteur et ambigu, même aujourd’hui. Tout le mariage se déroule à l’avenant ; certains invités des jeunes mariés me félicitent pour la beauté de ma femme, en parlant de Guenièvre. Quant à Sally, elle s’éclate toute la soirée, passant de mes bras – rarement – à ceux de Vladis ou encore de Bob qui lui apprend les finesses de la danse country et… du zouk. Qu’elle est belle, Sally en fin de soirée, les cheveux légèrement décoiffés, quelques mèches collées par la sueur sur son front. Cette même sueur qui colle délicieusement la robe caftan contre son corps et met en valeur ses formes généreuses. Elle est habillée, mais plus que déshabillée : impudique involontaire. En fin de soirée, lorsque la pièce montée arrive, elle se colle à moi. Son ...
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