1. Ride Sally Ride


    Datte: 15/03/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, inconnu, alliance, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, odeurs, ffontaine, Oral fist, double, Partouze / Groupe fsodo, jouet,

    ... oui, caresse mon cul. Oui, ton doigt là pendant que tu suces mon clito. Oui, comme ça c’est bon. Continue, oui, continue… Oui, ooh, aah, aah, oui, oui, oui, ouiiiiiii ! Elle vibre ; son corps est tendu comme un arc mais sa musique est belle, et mon visage est recouvert d’un masque de plaisir qui m’inonde complètement. Elle se calme doucement, se détend ; ses jambes flageolent. Je lui laisse le tabouret pour qu’elle puisse s’asseoir face au spectacle de son mari et de Bob. Je m’installe debout derrière elle, lui caresse les épaules, les seins. Ma queue se raidit à nouveau contre son dos. Je la laisse récupérer un peu. Le spectacle que nous voyons est cru. La femme est couchée sur le dos, sa tête vers nous, mais nous ne voyons que sa chevelure brune tenue par le bandeau noir sur ses yeux. Il brille comme de la soie. Elle fait une fellation à Vladis, mais sa fellation est très irrégulière : elle s’arrête souvent, tellement elle est secouée. En effet, le cow-boy qui a gardé ses santiags aux pieds lui a glissé trois doigts dans la chatte et s’en sert comme d’un sexe ou un gode ; il la baise très rapidement. De l’autre main il appuie sur le bas-ventre de la femme. Il va de plus en plus vite, puis il ajoute un quatrième doigt, le pouce percutant le clitoris à chaque passage. Cet acte ressemble plus à de la sauvagerie qu’à un homme qui fait l’amour à une femme. La femme ne s’occupe plus du tout de la pine de Vladis ; nous ne voyons plus du tout sa tête qui doit être sous les ...
    ... oreillers. On entend ses cris étouffés, de plus en plus forts. C’est bestial, sauvage. Je ne saurais dire si ce sont des cris de douleur, d’appels au secours ou de plaisir. Brusquement, c’est presque le silence : plus de cris, juste un souffle qui cherche désespérément de l’air. Un corps pris de convulsions qui tremble, hors de contrôle. Le cow-boy ridicule retire sa main et un flot inonde le lit : elle se vide. Je n’ai jamais vu ça, une femme fontaine ; je pensais que ça n’existait pas, que c’était de la mise en scène porno, pour faire du fric. Je suis abasourdi par ce que je vois. — Alors, ma petite baiseuse, on ne joue plus la mère de famille fidèle ? On sait maintenant pourquoi on l’appelle Bob l’Éponge, le Robert. Après un pied pareil, tu vas le respecter et lui obéir maintenant, sinon tu ne fumeras plus son havane, et plus d’éponge. Ce prétentieux parle de lui à la troisième personne : J.R. devient César maintenant. — Prends-moi, maintenant. J’ai envie de toi. Je te veux. C’est Guenièvre qui m’adresse ces mots d’une voix suave, délicate. Elle se lève, avance d’un pas vers la glace, pose ses mains en appui sur le rebord de la vitre, recule et écarte une jambe, puis l’autre. Qu’elle est belle, la diablesse, offerte tout en sensualité, les fesses et le sexe offerts… Comment résister à cet appel ? Elle tourne la tête vers moi, plonge ses yeux dans les miens, bouge lentement ses fesses dans une ondulation lascive. — Viens, maintenant. Alors je viens ! Je m’approche d’elle, couvre ...
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