Ride Sally Ride
Datte: 15/03/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
inconnu,
alliance,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
odeurs,
ffontaine,
Oral
fist,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
... son dos de baisers, remonte vers son cou. J’en profite pour regarder dans la chambre : ils sont affalés, inertes sur lit. La femme liquéfiée a toujours sa tête enfouie sous les oreillers. Les deux mâles parlent doucement et ricanent ; je ne comprends pas ce qu’ils disent. — Fais-moi l’amour, oublie-les. Une fois de plus Guenièvre me rappelle à l’ordre. Alors je reprends mes baisers, descends le long de son dos. Je descends par petits baisers le long de sa jambe gauche jusqu’à baiser son pied. Je repars sur le chemin inverse, toujours lentement. Je passe sur ses fesses sans m’y attarder et je descends sur l’autre jambe. La peau de la belle se hérisse ; elle prend vie, vibre. Son goût est sublime, mélange de doux parfum et de sécrétions corporelles ; c’est enivrant ! — C’est bon, mais viens, j’en veux plus. Alors je rapproche le tabouret, m’assieds dessus, le visage légèrement au-dessus de son joli cul. Je lui prends fermement les fesses et les écarte. Je plonge mon visage dans sa vallée sacrée et je déguste à nouveau son fruit juteux. Placé comme je suis, positionnée comme elle est, je passe aisément de son con à son cul. Je lui lèche l’un et l’autre, sans oublier son bouton sensible que je titille de ma langue ou du bout des doigts, suivant l’inspiration du moment. — Viens vers moi. Cette fois-ci c’est moi qui le lui demande en l’attirant vers moi, toujours assis sur le tabouret. Elle descend sur moi et s’empale sur mon pieu. Que c’est bon ! Elle est trempée. Je suis au ...
... fond de son corps, elle coule sur moi, ondule des fesses qui frottent contre le bas de mon ventre. Mes bras font le tour de son corps ; une main caresse son sein droit, l’autre descend taquiner son point sensible dressé tel un petit sexe mâle. — Aah, doucement, c’est trop rapide. Je veux profiter de toi : ne me fais jouir trop vite. Prends ton temps, oui, comme ça. Caresse-moi juste le dos et les seins, laisse-moi faire. Alors elle se cale contre moi et n’exerce plus que des petits mouvements de son bassin accompagnés de contractions internes ; c’est divin. — Tu aimes, mon chou ? Tu sais, ils ont repris leur manège à côté.— Oui, c’est bon, reste comme ça. Pas plus vite : moi aussi je veux que ça dure, j’ai envie de profiter du plaisir de ton con. Dis-moi ce qu’ils font. Comme je suis placé, je ne vois rien que le dos de cette maîtresse en amour physique ; je veux entendre sa voix quand elle prend du plaisir, l’obliger à se concentrer à la fois sur son plaisir et sur le récit qu’elle me fait. J’ai bien l’intention de la perturber de quelques coups de queue au moment où elle ne s’y attendra pas. — Petit vicieux… Ooh oui, c’est bon ! Tu penses que je n’y arriverai pas ? Ah… salaud ! Là, mon salopard de mari s’est allongé sur lit et cette pouffiasse tente de le faire bander en le suçant, mais il est tout mou, ce con. Ooh, ooh, oui, oui, oui.— Et moi, je ne suis pas trop mou, belle cochonne ?— Henry, t’es aussi con que mon mari ! Ah, ah, ah, pas trop vite, je vais craquer. Ça y est, ...