1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.


    Datte: 15/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... • C’était différent, il ne cessait alors de m’encourager alors de prendre des amants. Et ce que j’ai fait à Rio, c’était une forme de candaulisme. Là, c’est un adultère pur et simple. • OK, mais tu oublies que, ces dernières semaines, il t’a négligé. Il n’a rien organisé pour toi depuis des mois alors qu’il connait tes besoins. Philippe est aussi responsable de ce qui s’est passé, non ? • Sans doute, mais j’ai décidé de ne rien lui dire, j’ai trop honte. Pas maintenant en tout cas. • C’est une grave erreur, ma chérie. Je t’aime et je suis à tes côtés. Et Denis, que vas-tu faire de lui ? Pas de double vie, je t’en prie ! • Il m’a baisé comme un Dieu. Mais pas question d’entrer dans une liaison adultère prolongée avec Denis. Je ne veux pas commencer une nouvelle galère. Je vais arrêter cette liaison et quitter ce boulot. • Pour la liaison, je comprends, même si je plains Denis qui va penser que tu t’es servie de lui. Mais ton travail, non, chérie ! Tu t’es beaucoup investi, tu t’y épanouis. Réfléchis ! • C’est tout réfléchi, je n’ai pas le choix. Tout le monde pense là-bas que je suis la maitresse de Denis S. On me juge très sévèrement, j’entends les conversations derrière mon dos. • De quel droit te juge-t-on ? • C’est comme ça. Je n’ai pas d’autre choix que de démissionner, ce sera en quelque sorte ma punition. Et pas question de chercher un autre job, car ce qui s’est passé là se reproduira forcément ailleurs. Le lendemain, Denis a immédiatement remarqué mon visage fermé, le ...
    ... maquillage masquant mal le fait que je n’avais pas dormi de la nuit. Il essaya de m’embrasser, je le repoussais : • Denis c’était très bien, nous en avions envie tous les deux, mais il faut arrêter ça immédiatement. Je ne veux ni détruire ta réputation ici, ni mettre en péril ma famille parce que je n’ai pas su résister à mes pulsions. • Pulsions ? Parle pour toi, tu veux ! Tu ne penses pas à moi. Je suis fou de toi, je t’aime ! Et maintenant que tu t’es faite tirer comme une pute, tu me largues ! • Ne sois pas vulgaire ! Tu dois m’oublier ! Voici ma lettre de démission. J’ai mûrement réfléchi, je n’ai hélas pas d’autres solutions. Pendant ma période de préavis, tu veilleras à me changer de service pour qu’on ne se croise plus. Je te prie, si tu le peux, de me pardonner. • Jamais ! Fiche-moi le camp, sale petite putain ! Je ne veux plus te voir et entendre parler de toi, monstre, démon ! Philippe a cherché à savoir pourquoi je quittais si brusquement un travail qui me plaisait. J’ai refusé de lui donner la moindre explication. C’est ainsi qu’a tourné court ma tentative de reprendre une activité professionnelle. Cette expérience prouvait, même si je refusais alors de l’admettre, que j’étais bien incapable de résister durablement aux tentations et cela serait confirmé (en pire) un an et demi après, en 2016, quand mon chemin a croisé celui de N. sur une plage (voir récit n°17). C’est seulement à ce moment-là, lors de la crise provoquée par ma liaison avec N. et ses conséquences ...