1. Jardin d Eden


    Datte: 15/03/2021, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... écrivains. Me fixant elle me dit : "Parlons-en demain."Nos chemins se séparèrent à l’entrée du boulevard. J'eus peur lelendemain qu’elle choisit de me fuir et de n'être pas présente. J'eusperdu mon Eurydice. Je vous laisse imaginer le bond que fit mon cœurquand je la vis juchée sur son banc. Cette fois je pris la liberté dem'asseoir près d'elle. Elle me fit un salut de tête et de converse nousdégustâmes en silence notre sandwiche. Peu après nous parlâmesécrivains. Elle était passionnante. Je sus qu'elle était secrétaire dansun office notarial. Je faisais effort pour ne regarder ni sa cuisse nison pied.Nos regards tandis que nous discourions sérieusement évoquait quelquechose de plus lourd et précis. Je découvrais qu’elle avait autant enviede moi que moi d 'elle. A cet égard ce premier jour elle eût la délicateattention et bien que je fus près d'elle, de balancer une fois encoreson escarpin au bout du pied. Je crus devoir honorer cette attention enfixant sans façon ce spectacle et de lui en avouer que j'étais ému ettransporté. Je finis par souffler : " Votre pied n'est pas la moindrepartie de votre statue. Il est divin." "Vous êtes trop belle Magalie."En effet elle s'appelait Magalie. Le lendemain j'obtins qu’ellem’abandonna sa main. Je lui fis confidence de ma vie. Une femme m'avaitquitté il y a un an. Je rongeais mon frein dans un boulot stupide. Jebénissais cependant ce stage que nous pûmes ainsi nous ...
    ... rencontrer. Elledemeurait près de Suresnes. Elle allait jusqu'ici chaque jour envoiture. C'est elle qui me proposa de recourir à son véhicule car lesbus ici étaient rares et bondés. A tout le moins nous ferions une demiheure le chemin ensemble. Bien sure j'acceptais. Je ne pouvais rêverplus beau carrosse.Décidément Magalie avançait toujours les choses. Je ne concevais pas derésister aux charmes d'une telle fée. Peu après que la voiture eûtdémarré, nous nous embrassâmes à un feu rouge. Je ne sais qui pritl’initiative. La garce s'enquit de se garer plus loin pour nousétreindre et approfondir nos baisers. Ma main courait déjà sous sa jupe.Je pelotais enfin ses magnifiques cuisses. Elle avait la culottemouillée. Je percevais au travers son sexe chaud et lourd. Plus tard etn'y tenant plus nous nous arrêtâmes au fond d'une allée au bois deBoulogne. Là elle me suça.Nous allâmes plus loin et fîmes l'amour à l'arrière. Il ne s’agissaitplus de littérature. Ma fée se révéla une sorcière. Elle m’exhortât àplus d'intrépidité et de gourmandise. En langage cru elle me souffla àl'oreille d'une voix rauque "J'"aime la queue tu sais !" Ce soir-làj'obtins même de lui enfoncer la bite dans le cul. La garce avait uneprédilection pour la cochonnerie. Je trouvais un peu que tout allaitvite. Chagrin je dus convenir que d'autres mâles l'avait eu sans doute àpeu de frais. Néanmoins elle m’accepta durant un an comme amant. Ce futun temps merveilleux. 
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