1. Brave Margaux… (ou quand le cocu tient la c


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... c’était pas trois mecs en goguette qui allaient se plaindre du désordre dans la maison.Enfin bon… Ce que femme veux…Voir débarquer ces trois larrons dans notre petite retraite douillette ne me faisait d’ailleurs pas spécialement sauter au plafond.C’était des copains, juste des copains. Certainement pas des amis.En plus, c’était plutôt des copains de Margaux… et encore !Il n’y avait que Théo que l’on connaissait bien. Et pour cause : C’était l’ex de Lauriane, la meilleure amie de Margaux.Pas tout à fait son ex, en fait, puisqu’ils n’avaient pas officiellement rompu. Ils faisaient un « break ».Enfin bon. On sait tous ce que ça signifie : Quand on demande à faire un break, c’est en général parce qu’il y a quelque chose qui cloche dans le couple et cette « pause » permet à l’un ou à l’autre d’aller voir ailleurs si l’herbe y est plus verte en toute impunité et tout en gardant l’illusion que si on ne trouve pas mieux, il y a toujours cette bouée de secours sécurisante du retour au bercail.Alors quand on sait que c’était Lauriane qui avait été à l’initiative de ce break et que l’on connaît le tempérament de cette nénette toute aussi jolie que sa copine, le pauvre Théo ne devait guère nourrir d’espoirs.En même temps, je dis « le pauvre » mais celui-ci n’était pas spécialement à plaindre.D’une part parce que contrairement à moi, c’était le beau gosse par excellence, le genre latin lover à la coupe impeccable, au regard sombre sous le sourcil séducteur et à l’assurance naturelle. ...
    ... Le mec super énervant pour les gars comme moi, quoi.Et d’autre part parce que j’avais déjà pu constater que même en étant en couple, il ne se privait pas de « tester » son charme irrésistible auprès de la gent féminine. Le genre de type qui a fait sien le dicton : « Ce n’est pas parce qu’on a déjà mangé qu’on n’a pas le droit de regarder le menu. »Sauf que lui, je soupçonnais qu’en plus de regarder le menu, il lui arrivait aussi de consommer.Donc, s’il était vrai que le départ de Lauriane lui avait salement amoché l’amour propre qu’il avait surdimensionné, je ne me faisais pas de soucis pour lui. Il allait vite rebondir.Le deuxième, Fabien, était le plus sympa des trois.C’était le joyeux drille de la bande. D’un naturel toujours heureux, c’était aussi un redoutable pique assiette : Toujours dans les bons coups pour se faire inviter à droite ou à gauche, toujours au courant de la moindre fête organisée par la plus éloignée de ses vagues connaissances, il passait son temps à squatter chez les uns et chez les autres.Je le soupçonnais même de s’être inventé une adresse bidon et de n’avoir pour autre point de chute régulier que la piaule chez papa et maman.Un as de la démerde, en tout cas. Pas étonnant que ce soit lui qui ait téléphoné à Margaux afin de pouvoir grailler à l’œil.De là à penser que cette étape « impromptue » avait été calculée à l’avance, il y avait un pas que j’étais prêt à franchir sans scrupule.Le troisième, Bastien, je ne le connaissais quasiment pas. Et je ne ...
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