1. Brave Margaux… (ou quand le cocu tient la c


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... tenais pas spécialement à le connaître.C’était le copain de Théo. Au plus nous étions nous rencontré trois ou quatre fois jusqu’alors mais cela m’avait suffit : Un con fini : Souvent grossier, parfois vulgaire, jugeant sans doute que sa musculature dopée à la gonflette et aux anabolisants l’exonérait d’utiliser plus de 2 ou 3 % de ses neurones, chacune de ses remarques me donnait une idée un peu plus précise du néant.Toutefois, il amusait Margaux qui lui trouvait des excuses.Moi pas.A mon retour du village, chargé comme un baudet, proche congénère des quadrupèdes qui me regardaient passer d’un air absent, j’eus la surprise de trouver Margaux changée et maquillée.Oh, rien de très aguicheur mais malgré tout, cette soirée avait de moins en moins l’aspect d’une bonne franquette improvisée.Ils arrivèrent tard.Le ciel s’assombrissait déjà et le barbecue était bien avancé.Fabien était au volant, à ses côtés Bastien et derrière, Théo semblait en train de se réveiller.« – Salut les amoureux ! » lança le conducteur après avoir éteint son moteur non sans un dernier joyeux coup de klaxon. « Punaise ! Margaux ! Ca te va super bien d’être toute bronzée comme ça ! Je ne pensais pas que c’était possible que tu sois encore plus belle ! » S’écria-t-il en l’embrassant.« – Vil flatteur ! »« – Ah non ! Quand ça devient une telle évidence, ce n’est plus de la flatterie, c’est un constat, au pire un compliment ! »Rose de plaisir, elle lui rendit ses bises et le laissa continuer vers moi :« – ...
    ... Salut Erwan, t’es un sacré veinard, tu sais ça ?! »Oui, je savais. Mais ça fait toujours plaisir de l’entendre, même si le gaillard avait une propension naturelle à exagérer.Je serrai avec entrain sa main tendue.De l’autre côté de la voiture, Bastien étirait sa grande carcasse.« – Putain ! C’est vrai que c’est paumé ! Vous devez vous faire chier comme des rats morts, ici !Salut Margaux ! Alors, quand est-ce que tu dégrafes ton corsage ? Depuis le temps que j’attends la gougoutte ! »Très drôle. Ca commençait fort !En même temps, constater qu’il connaissait au moins une référence du grand Georges le faisait remonter un peu dans mon estime.D’un œil soupçonneux, je le regardai embrasser ma chérie qui gloussa :« – Tu rêves tout debout, mon grand ! »Puis il s’avança vers moi, jeta un regard moqueur sur mes bras d’haltérophile biafrais et balança :« – Salut Erwan ! Alors, la muscu’, c’est pour quand ? »« – Salut Bastien. J’y songe, j’y songe mais à chaque fois que je te vois, j’ai peur : Je me dis que si le développement synaptique est inversement proportionnel au développement musculaire, à choisir, je préfère encore garder mes mollets de coq. »Bien évidemment, il ne répondit pas.Je sais, ce n’est pas très charitable de vanner un abruti. Mais qu’est-ce que c’est jouissif, parfois !Surtout quand celui-ci est beaucoup plus musclé que vous : Il y a cette sorte d’excitation liée au risque de s’en manger une bonne si le gars s’avère un peu plus perspicace que prévu.Là, ça ne risquait pas. ...
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