Résonance primitive 4
Datte: 30/10/2017,
Catégories:
fhh,
cocus,
vidéox,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
humour,
... l’amateur à l’écran, pas de doute. Américain vu l’accent. De l’amateur calquant le pro. Pas mon préféré, dommage. Il y a des pornos qui ne cherchent pas à comprendre. Grosses bites, gros trous et rythme olympique. Une performance physique qui ne fait pas dans la dentelle niveau émotion. Dans ce modèle qui tache, le trip est simple en général. Une petite meuf, toute mignonne, avec une tête de salope qui ne s’ignore plus vraiment, se fait défoncer sans répit, par tous les trous. Pas de demi-pénétration. Tout ce qui rentre va au fond. De la dilatation obscène et crue qui s’étale plein écran et en devient fascinante, hypnotique, mais qui nous renvoie une biologie saupoudrée de code archaïque de domination masculine. Les mecs sont rarement tendres, tout en muscles. Tout se joue dans la brutalité. Les filles subissent, mais encaissent toutes les intrusions dans leurs orifices. Se transforment en superwoman, à qui on peut tout faire, tout se permettre. Ce ne sont plus que des trous bien emballés au final. Cette vision du sexe, du rapport homme/femme, symbolise parfaitement la philosophie secrète de notre monde : de la marchandise pour jouir, comme ultime modèle. Le porno révèle plus qu’il n’instruit, je n’en démords pas ! C’est Aline qui démarre la partie ce soir, en s’allongeant entre nous dans le travers du canapé. Elle pose sa tête sur ma cuisse, et offre son basin à Damien qui se décale un peu pour lui faire de la place. Elle campe une jambe pliée contre le dossier, pendant que ...
... l’autre se pose, un peu cassée, sur les cuisses de son mari. Elle tire sur sa robe, et révèle un peu plus de ses jambes gainées de nylon. Son décolleté entrouvert attire ma main qui s’insinue jusqu’à ses seins. Je joue un peu de ses tétons durcis, mais je veux sa chatte, et ma main glisse sur ses côtes en direction du ventre. Sans avoir besoin de demander, elle défait les derniers boutons de sa robe, et écarte les pans. Son ventre blanc se dévoile, augmenté du noir du porte-jarretelles. Je passe sous la culotte et retrouve son sexe liquide que j’ai quitté plus tôt. Je joue avec ses lèvres, les écarte, les pince entre deux doigts. Je m’introduis furtivement dans son vagin et remonte faire le tour de son clito, d’une longue glissade, puis replonge au point de départ, plus profond. Elle se love à la caresse. Damien ne filme pas encore, il se contente de regarder en lui massant le pied. — Retire ma culotte, lui ordonne-t-elle. Un ordre doux, enchanteur. La force existe ! Elle serre les jambes et décolle ses fesses pour faciliter le passage. Une fois la culotte ôtée, elle se remet en place, et j’envie Damien d’être du bon côté. Bon joueur, j’écarte ses lèvres, en les tirant vers le haut pour la décalotter. La mâchoire de Damien tombe doucement. Alors je continue d’abuser, et replonge mes doigts dans son vagin, plus profond, et les ressors écartés et luisants. Aline gémit. Je répète l’opération sous les yeux de son mari subjugué, et je m’amuse du clapotis de sa chatte. — Tu me fais ...