Résonance primitive 4
Datte: 30/10/2017,
Catégories:
fhh,
cocus,
vidéox,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
humour,
... jouir, soupire-t-elle, femelle. Damien ouvre son futal et sort sa queue déjà bien raide. Il se branle doucement en regardant mes doigts, sans gêne, fouiller l’intimité, plus si intime, de sa femme. Je les fais sucer à Aline qui les accepte, gourmande, et replonge entre ses jambes pour m’aventurer plus loin, offrir plus de spectacle. Je n’ai pas le droit de la sodomiser, mais la préparation tolère quelques phalanges enfoncées, et je ne m’en prive jamais. Damien apprécie autant qu’Aline. Cette règle prend tout son sens à cette minute. À chaque nouvelle occasion de jouer de son cul, comme un défi, je m’évertue à pousser plus loin mes doigts, pour les faire abdiquer tous les deux, et casser cette putain de règle. Je sais que ça arrivera, c’est obligé. Il me suffit de regarder Aline et de l’entendre mourir d’envie. Damien n’en est pas loin aussi, mais c’est à lui que revient le dernier mot. — Lèche-moi, mon chéri, lèche-moi bien ! réclame Aline à son mari. Encore un ordre Kénobi. Ordre renforcé de plus : « Lèche-moi » deux fois dans la même phrase, ça veut dire sans retenue, et Damien ne se retient pas. Il bascule son bassin en arrière, le regard flou, et lui maintient les jambes repliées et ouvertes en position obscène. Puis il plonge, bouche en avant, et se goinfre de ce cul en self-service. Sa langue pénètre bruyamment ses deux orifices, en alternance. Il lèche, suce, étire ses petites lèvres, aspire son clitoris. Aline, coincée entre nous deux, subit l’assaut en suffoquant. ...
... De sa main droite, elle essaie de déballer ma queue sans y parvenir. — Ta queue ! Je veux ta queue ! implore-t-elle entre deux râles. Touchante Aline. Je suis obligé de me dégager pour m’exécuter. Une fois libre, je m’approche d’elle et lui présente. — Assieds-toi ! m’ordonne-t-elle, en se retournant pour se mettre à quatre pattes sur le canapé. Elle cambre les reins, s’offre comme une putain affolante. Aline me suce bien moins langoureusement qu’en début de soirée. Damien, les deux mains sur les fesses de sa femme, lui lèche l’anus, devenu prioritaire dans cette position. Aline se frotte. Quelques minutes passent, et Damien lâche son cul pour attraper sa caméra. Je ne vois pas ce qu’il filme, mais j’imagine facilement les deux orifices luisants, coulants de salive et de cyprine. Je bloque sur le gros planking size qui vient d’apparaître sur la télé. Une double pénétration bien membrée et bicolore. Pendant qu’une grosse bite noire reste plantée dans un vagin distendu, une bite blanche, à peine moins grosse, s’active dans l’anus le surplombant. Et pas doucement. Le son a beau être faible, on entend la fille hurler sous chaque coup donné. Je surprends Aline en train d’observer la scène aussi, l’œil grand ouvert et ma bite au fond de la bouche. Soudain, elle se redresse et m’enjambe, pour positionner son bassin au-dessus du mien. — Vous allez me prendre à deux… comme elle ! Comme cette petite pute ! Ouaoh ! Elle est bouillante ce soir. Je tiens ma queue dressée d’une main ferme ...