1. Le Fauteuil : Chapitre final


    Datte: 17/03/2021, Catégories: fh, bizarre, Oral policier, fantastiqu, sorcelleri, fantastiq,

    ... et se rue vers la cabane de jardin pour l’essayer. Elle semble adaptée à la serrure et ouvre le cadenas. Il consulte sa montre. Il est 9 h 15. oo00oo Thomas se lève et fait deux fois le tour du bureau. Qui ? Voilà la question qui hante ses pensées et à laquelle la voix a refusé de répondre. Il quitte son travail sans prévenir qui que ce soit. Arrivé dans le parking, il grimpe dans sa BM et met le contact. Il roule à plus de quatre-vingt-dix à l’heure en ville, et lorsqu’il s’en rend compte, il appuie sur le frein pour atteindre la vitesse réglementaire. Il est furieux de rouler si lentement. Il a l’impression que tous les automobilistes font exprès de conduire comme des sagouins. Il ne se prive pas d’utiliser plusieurs fois l’avertisseur sonore et engueule une mamie qui ne traverse pas assez vite un passage piéton. Il est 9 h 20 quand l’esprit de Thomas se focalise sur Julia. J’ai fait glisser son jean le long de ses cuisses satinées. J’avais une de ces triques ! (Thomas sourit.)Elle me l’a fait remarquer et j’ai arraché sa culotte rose rehaussée de dentelles de la même couleur. Et là, j’ai enfin pu voir sa petite touffe et ses fines lèvres ! Je me suis agenouillé et me suis emparé de son intimité que j’ai d’abord effleurée du bout des lèvres. Ça avait l’air de lui plaire ! Un peu chatouilleux au début. Puis ma langue a jailli de ma bouche et a dardé de la pointe le pourtour de son abricot avant de se planter dans la moiteur de ses profondeurs. À cet instant elle a pressé ...
    ... sur ma tête pour que mon visage écrase son entrejambe. Je l’ai dévoré comme une bête, aspirant ses lèvres et son clitoris, lapant sa fente ruisselante, explorant son fourreau aussi loin que ma langue puisse s’y aventurer. Elle gémissait. Ses cuisses se tordaient, comprimaient ma tête, puis elle a poussé un cri aigu et ses muscles se sont décontractés. Je lui ai proposé de jouer à un jeu. oo00oo Un véritable capharnaüm règne dans la cabane de jardin. Des deux côtés des stères de bois qui font face à l’entrée, Bernard aperçoit une échelle pliable, une table de jardin renversée, une tondeuse à gazon, des piles de cartons, et un établi sur lequel des outils s’entassent pêle-mêle. Il entre dans la cabane et ferme la porte derrière lui après avoir allumé la lumière. Il a besoin de réfléchir un peu. Jusqu’à maintenant, il a trop compté sur la spontanéité sans laisser le temps à ses idées de mûrir. Il pourrait prendre l’échelle et essayer de s’introduire par une des deux fenêtres qui percent la façade de ce côté de la maison. Ou bien il pourrait essayer d’ouvrir la porte du garage de l’autre côté de la maison. La serrure ne doit pas être bien résistante. Mais de l’autre côté, les voisins sont nombreux et il serait facilement repéré. De toute manière, s’il choisit l’échelle, il devra casser un carreau. Et ensuite ? Bernard, indécis, balaie du regard l’établi. Un chiffon attire son attention. Il va passer par une des fenêtres et casser un carreau à l’aide d’un marteau dont le bruit sera ...
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