Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12
Datte: 31/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Comme d’habitude, elle déjeune avec ses collègues à la Taverne d’Or. Antoinette, qui a un poste important à la division financière, lui fait part de son étonnement, en la trouvant aussi changée depuis un certain temps. Elle la trouve beaucoup plus sexy et ouverte et elle lui demande carrément, si elle a un amant. La pauvre DRH défaille, se pourrait-il qu’elle soit découverte. Elle n’ose plus regarder sa collègue qui la rassure immédiatement. - Pardonne-moi Odile, je ne voulais pas être indiscrète, mais permets-moi de te dire que je te trouve beaucoup plus agréable et que tu es magnifique. Si j’avais des tendances saphiques, je te draguerais à mort ! Odile s’est statufiée, devenant rouge pivoine, tellement cette attaque directe l’a surprise. Sa collègue une petite brune à la poitrine généreuse qui déborde toujours de ses chemisiers, a de belles jambes, des cuisses bien musclées, et possède un fessier des plus prometteurs. Odile songe qu’elle lui ferait bien l’amour ! Mais qu’est-elle en train devenir ? Elle bafouille des mots sans suite et se précipite aux toilettes de l’établissement. À peine assise sur le siège des WC, elle descend le pantalon de son tailleur et son shorty, puis, elle se branle avec vigueur, poussant des gémissements rauques, faisant entrer ses doigts dans la moule qui laisse couler une mouille abondante, jusqu’à ce qu’un violent orgasme la libère de la tension accumulée et de l’envie qu’elle avait d’embrasser soudainement cette femme et même de ...
... caresser et de sucer ses seins. Une bonne vingtaine de minutes plus tard, elle remonte dans la salle alors que ses collègues sont déjà partis. Elle est soulagée de ne pas avoir à croiser le regard d’Antoinette. Pourtant l’envie de cette femme, d’une dizaine d’années sa cadette, est toujours aussi forte. Elle se promet d’essayer un jour… Même si elle pense qu’elle est en train de devenir une dépravée. Le mercredi suivant, Odile s’apprête à rejoindre le baisodrome, mis à sa disposition par son suborneur. Après une toilette attentive, elle enfonce le rosebud dans son œillet qui s’ouvre sans difficulté, puis elle glisse une culotte et un soutien-gorge dans une pochette pour les mettre avant son retour au domicile conjugal. Lorsqu’elle s’assoit dans son automobile, elle soulève sa mini jupe, imposée par Edmond et apprécie le contact du siège en cuir sur ses fesses nues, la faisant frissonner d’un trouble plaisir pervers et certainement immoral, mais qui l’émoustille, sachant qu’elle va passer, encore une fois, une journée de découvertes enivrantes. Lorsqu’Edmond pénètre dans l’appartement, il a la surprise de voir Odile, entièrement nue, à quatre pattes sur le lit rond, le cul haut levé et les cuisses écartées, attendant son bon vouloir. Posé à côté d’elle, l’écrin aux rosebud, où se trouvent le plus petit et le plus gros ; le moyen est engagé complètement dans l’œillet de la belle. Il se doute qu’il y a « anguille sous roche », aussi il lui demande si elle a quelque chose à se faire ...