1. Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12


    Datte: 31/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pardonner. - Odile, ma petite salope adorée, je pense que vous avez fait une bêtise et que vous devez mériter une bonne fessée pour vous présenter à moi dans cette position. Je vous écoute ! La pauvre ne sait plus où se mettre, alors qu’Edmond vient de la traiter de salope et lui promettre une fessée. Pourtant, elle sent sa moule s’humidifier, tandis que des idées perverses traversent sa pensée. - Oh ! Je vous demande pardon, je sais que ce n’est pas ce que vous attendiez de moi Edmond, mais, mais, dimanche dernier, mon mari a violé mon derrière et je n’ai rien pu faire. Je suis, je suis désolé. Heureusement que vous m’aviez préparé d’ailleurs, car malgré tout j’ai eu affreusement mal. J’ai peur à présent, car…., car votre sexe est beaucoup plus gros que celui de Michel, je ne pourrai pas le supporter ou vous allez me déchirer l’anus… Edmond contemple la belle mature, qui toujours à genoux sur le lit, se lamente, mais elle a toujours le cul haut levé et, passant la main entre les cuisses nues, il tâte la chatte qu’il trouve engluée de secrétions. - Vous n’êtes qu’une petite chienne lubrique qui mouille et se réjouit des propos que vous me tenez. Ce n’est pas une fessée que vous méritez, mais la bonne correction des lanières d’un martinet. En disant cela, Edmond est allé chercher la serviette en cuir qu’il ne quitte jamais, en bon notaire qu’il est. Il en retire un martinet aux longues lanières souples d’un rouge soutenu, dont le manche en cuir lui aussi, de couleur noir et ...
    ... rouge fait bien six centimètres de diamètre. Odile, réalisant qu’il va mettre sa menace à exécution, exprime ses peurs. - Je vous en prie, ne me marquez pas. Il ne faut pas que mon mari ou ma fille s’en aperçoivent. Je ne pourrai jamais trouver une explication. - Tranquillisez-vous, ce sont des lanières pour les débutantes, comme vous ma chérie. Cela va vous rougir les fesses provisoirement, ce soir il n’y aura plus de traces. Tout en parlant, Edmond agite les lanières entre les cuisses d’Odile, qui n’en mène pas large, surtout lorsqu’il fait tournoyer le manche entre ses doigts, les lanières frappant légèrement les fesses dodues de la mère de famille. Puis, d’un seul coup, il frappe durement le cul rebondi de la femme qui hurle, plus de la surprise que de la douleur ressentie. Edmond lui caresse la fesse de la paume de sa main, apaisant le tremblement de tout le corps de celle qu’il est en train de soumettre. Il reprend ses tournoiements et abat cinq coups bien appuyés. Odile crie et éclate en sanglots. Puis, il lui masse ses rondeurs, rougies par le martinet et il lui applique un onguent apaisant sorti du cartable. - Ne bougez pas Odile, je vais vous ôter le rosebud de votre cul bien mignon. Je suis certain que vous l’avez gardé pour que j’ai le plaisir de vous enculer ! Ce disant, il tire sur le rubis qui orne l’engin et le fait coulisser lentement hors la rosace qui s’ouvre comme un pétale. Il le fait aller et venir lentement, observant les chairs qui se sont assouplies ...
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