Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12
Datte: 31/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... depuis deux semaines. Il le pose dans l’écrin, puis, il badigeonne de gel le goulet étroit et présente la pointe du nouveau rosebud, qui lui, fait bien cinq centimètres de diamètre dans sa plus grande largeur, lorsqu’il atteint la moitié de l’obus en acier, La belle mature se contracte soudain, ses fesses se refermant. Edmond lui applique une grande claque sur le cul. - Petite putain, ouvre-toi et reste docile, ma queue te fera beaucoup plus mal si tu n’acceptes pas l’engin qui va faciliter l’ouverture de ton cul. Sous l’insulte et la claque qui vient de la ramener à la réalité, Odile retient ses larmes et obéit en essayant de rendre son postérieur le plus disponible possible à l’homme qui va, elle en est certaine, lui défoncer la rondelle dans quelques jours. Heureusement, il la prépare patiemment avec ces rosebuds successifs, ne voulant certainement pas la brusquer et la dégoûter. Lorsque l’olisbos perce enfin entièrement l’œillet trop serré, Odile pousse un cri rauque, mais l’engin est à présent bien fiché au fond de son cul. Edmond enduit de gel le manche du martinet, puis, des doigts d’une main il écarte la vulve qui suinte de mouille. Malgré la douleur, l’excitation d’Odile est à son comble, il introduit de son autre main le manche en cuir jusqu’au fond de l’antre vaginal, le ramonant à grands coups et faisant feuler sa proie. Le notaire se déshabille en un tour de main, puis, se glissant sous Odile, il lui demande de venir le chevaucher et de s’empaler sur sa queue. ...
... Celle-ci, toute honte bue, écarte elle-même les chairs de la chatte encore toute gluante, puis elle prend l’énorme vit qu’elle fait glisser jusqu’à toucher l’utérus. Elle n’ose pas croiser le regard d’Edmond en face d’elle, aussi celui-ci l’apostrophe. - Regarde-moi, chienne perverse, et remue-toi pour me faire jouir salope. Allons, balance-toi d’avant en arrière et fais-toi jouir aussi ma putain chérie ! Sous les mots crûs et les insultes proférés par le notaire, Odile s’agite comme une folle sur le mandrin qui lui laboure les entrailles. Elle se projette de plus en plus vite, à une cadence infernale, jouissant du frottement de la chair dans la sienne, accentué par le rosebud dans son cul. Les deux conduits amplement remplis, la rendent complètement hystérique. Elle ondule de tout son corps à présent, comme une toupie, prenant un plaisir inouï à se masturber sur l’énorme bite qui la transperce. Lorsque un orgasme terrible l’envahit, Edmond éjecte son foutre au fond de la matrice et Odile s’écroule sur le torse de l’homme, vaincue par l’incroyable jouissance qu’elle vient d’éprouver. Elle l’embrasse sauvagement sur la bouche, le remerciant ainsi du plaisir inouï qu’elle vient d’éprouver. Edmond laisse Odile se remettre doucement et il l’incite à prendre un bain, préparant lui même l’eau chaude, à laquelle il adjoint des sels parfumés et un flacon de bain moussant. Puis, il allume une quinzaine de bougies et vient lui-même aider sa maîtresse à se glisser dans la baignoire. Cette ...