Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12
Datte: 31/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... gentille attention fait fondre Odile, qui est toujours aussi troublée, par ces gestes de tendresse, succédant aux actes ignobles auxquels elle se complait et aux paroles offensantes qui, à son grand désarroi, excitent son imaginaire. Il est midi passé lorsque le couple va déjeuner dans une brasserie, près du jardin public. Comme c’est à deux pas, ils y vont à pied. Pour la circonstance, Edmond a voulu qu’Odile revête un chemisier en soie, presque transparent, sous lequel se devinent les seins et surtout les tétons turgescents qui pointent outrageusement sous le tissu diaphane. La jupe évasée arrive à mi-cuisses, faisant sentir le vent qui s’infiltre sur la vulve dénudée et entre les fesses du cul nu de la femme mature. Elle sent encore sa chatte s’humidifier sous l’excitation, quasi permanente lorsqu’elle se trouve avec ce coquin de notaire. Alors qu’ils profitent de leur repas, sur la terrasse de la brasserie, sous l’abri d’un parasol, une exclamation jaillit d’une silhouette en contre-jour. - Maman, quelle surprise, tu es bien loin de ton bureau ! Odile, stupéfaite, vient de réaliser que c’est Muriel, sa fille qui vient de l’apostropher ainsi. Elle manque défaillir. Comment va t’elle lui expliquer sa présence en compagnie d’Edmond ? En plus sa fille détaille sa tenue avec un étonnement certain. Jamais elle n’a vu sa mère en mini-jupe et avec un corsage transparent où aucun soutien-gorge n’apparaît dessous. Odile en bafouille pour présenter son compagnon. - Chérie, voici ...
... Monsieur Gardel, le notaire de notre société. Nous avons travaillé toute la matinée sur un dossier important, et Monsieur Gardel a bien voulu m’inviter à déjeuner. Puis, se tournant vers le notaire. - Je vous présente ma fille, Muriel, qui est universitaire, à Bordeaux Montaigne ; elle fait des études pour devenir avocate et se spécialise en droit international humanitaire. C’est alors qu’Edmond, amusé, propose à Muriel de partager leur repas. Celle-ci accepte, augmentant encore la confusion de sa mère. La jeune fille, habillée d’une robe à fleur printanière et chaussée de ballerines, est attentive à tout ce qui se dit, curieuse de voir sa mère avec ce vieux Monsieur qu’elle trouve charmant malgré son âge. La conversation tourne autour des études de Muriel et des stages qu’elle doit effectuer. Edmond, faisant état de sa charge notariale et des nombreux contacts qu’il entretient avec ses confrères, lui propose de lui chercher des cabinets qui pourraient l’employer. Il lui donne sa carte et Muriel lui confie son numéro de smartphone. Lorsque la jeune fille prend congé pour rejoindre ses cours, le notaire l’embrasse sur les deux joues, comme si c’était une parente, sous le regard inquiet de la mère qui a peur que son suborneur puisse s’intéresser à sa petite fille ! - Votre fille est charmante ma chère Odile. Elle est aussi jolie que sa mère et je la pense assez intelligente pour ne pas faire état à votre mari de cette rencontre. - Mais que vais-je lui dire sur notre relation ? - ...