Ma femme et " son guérisseur " (2)
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Une heure du matin ! Je roulais sur une petite route de campagne, il pleuvait, la visibilité était très mauvaise. Derrière moi, sur la banquette arrière, des gémissements de douleur, une femme souffrait et se plaignait : la mienne. En jetant un coup d’œil dans le retro, je voyais qu’elle avait délié le pardessus que je lui avais hâtivement mis sur le dos. Même ça elle ne le supportait pas…pourtant elle était bourrée d’antalgiques…sans aucun effet ! Ma femme nue dans la voiture, cela aurait dû m’exciter, me faire bander comme un fou… Vu le contexte ce n’était pas le cas. Le guérisseur que j’avais appelé et réveillé avait accepté de nous recevoir en pleine nuit. Lorsque j’avais essayé d’habiller Cécile, comme une petite fille, lui passant sa culotte sur les jambes et la remontant jusqu’à son sexe, elle avait hurlé de douleur…le pardessus, pour protéger un semblant de pudeur avait été la seule solution…et là, elle l’avait enlevé. Je priais pour ne pas être arrêté à un barrage de gendarmerie…les bleus allaient être surpris ! La ferme, enfin ! J’ouvris la portière, aidai Cécile à sortir du véhicule, essayai de lui remettre le pardessus…une voix d’homme : « Non M xxx, cela ne sert à rien, elle ne peut le supporter, venez ! » Nous entrâmes dans son cabinet, sa femme n’était pas là. Il la fit installer sur la table, Cécile n’avait aucune pudeur, elle frappait le cuir de la table avec les poings, battait des jambes en l’air, se trémoussait, exposant sa chatte grande ouverte à ...
... l’homme. Ce dernier ne sourcilla pas. Il l’attacha avec des courroies de cuir reliées à la table par des chaines…Cécile hurla comme une possédée. Et il commença ses passes sur le corps exhibé de ma femme. Progressivement, après beaucoup de patience, elle se calma. Je voyais ses mains aller et venir sur les seins, le ventre, descendre sur les cuisses, remonter entre les jambes, « caresser sa chatte » enfin c’est comme ça que je voyais les choses… A un moment il plaça carrément sa main sur le pubis de Cécile, tandis que l’autre il la plaça sous ses fesses…j’avais l’impression que les doigts que je ne pouvais voir pénétraient le petit trou et remontaient entre ses cuisses pour forcer le vagin…enfin forcer…on aurait dit une entrée de métro… Mais j’avais l’imagination obscène, j’aurais aimé que cela se passe comme ça, mais en réalité les gestes étaient cliniques, professionnels, même si les zones traitées étaient clairement impudiques. Après une pression sur et sous le crane. Cécile s’endormit. Le guérisseur me fit sortir de cabinet, il me suivit. Arrivés dans son salon, il me proposa un cognac et s’entretint avec moi : « M xxx, voici ce que je craignais, je l’ai calmée mais cela peut revenir dans une heure ou deux jours, personne ne peut savoir. Je suis désolé mais je dois la garder. Vous devez rentrer chez vous… — Quoi ! Mais vous n’êtes pas bien, vous croyez que je vais laisser ma femme à poil, offerte, entravée, droguée seule avec un inconnu ! Faudrait être un saint pour ne pas avoir ...