Ma femme et " son guérisseur " (2)
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... envie de la baiser ainsi…vous avez vu son corps ? — M xxx vous me décevez…vous voyez, avec la dépense énergétique que je viens de fournir pour « drainer le mal’ » je ne vais pas pouvoir bander pendant 2 jours, alors vos petites chaleurs de midinette … Reprenez-la si vous voulez, mais à la prochaine crise vous vous débrouillez sans moi ! — Je m’excuse de vous avoir offensé, croyez que la situation est particulière pour moi ! — Je vous excuse, rentrez chez vous, je vous appelle demain matin. » Je rentrais chez moi seul, dans tous mes états… Imaginer pouvoir laisser Cécile seule, entre les mains de ce type m’aurait paru complètement saugrenu à peine la veille. Et pourtant c’est ce que j’avais fait ; mais avais- je le choix ? Non. Seul son guérisseur pouvait aider ma femme à sortir de ce cauchemar. Il me semblait que je pouvais lui faire confiance. Du moins je l’espérais…je me mis au lit avec deux comprimés de somnifère. Le matin suivant j’attendais son coup de fil avec impatience. Les minutes s’égrenaient trop lentement à mon gout. Et puis le téléphone sonna. C’était lui : « M xxx, je suis le guérisseur, je vais vous apporter les dernières nouvelles. — Parlez je vous en prie, comment va-t’elle, a-t’elle bien dormi ? — Oui jusqu’à ce matin ou elle s’est éveillée en souffrance, mais j’ai pu la stabiliser rapidement. En ce moment elle dort à nouveau. — Qu’allez-vous faire maintenant ? Quand puis-je venir la chercher ? — Pour le moment je la garde encore un peu. Je vous rappellerai ...
... en début de soirée. Mais il faudra que je tente une thérapie avec elle. Il ya quelque chose de très puissant dans son esprit qui la met dans cet état là. On en reparle ce soir. — Je vous remercie vraiment. A ce soir. » Le reste de la journée fut morose, à attendre qu’elle se passe. Le soir je récupérai Cécile, sanglée dans son imperméable, elle allait mieux. Durant tout le trajet, mutisme complet de sa part : « Tu te sens mieux ma chérie ? Tu dois retourner le voir ? Tu sais tu m’as fait vraiment très peur. Heureusement que nous sommes tombés sur lui pour te soigner. — Tu parles de Thomas ? Oui il est formidable. J’éprouve beaucoup de sympathie pour lui et une grande reconnaissance. — Contente de rentrer à la maison ? — Oui (laconique). — Tu m’as beaucoup manqué mon amour (en lui mettant la main sur le genou). — Tu ne dois absolument pas me toucher ! Tu as compris Fabrice ! » Devant tant de réactions épidermiques je décidai de la laisser tranquille ; décidément ce zona ne l’avait pas rendue meilleure. Mais le contraire eut été étonnant, pourtant j’avais espéré que cette épreuve ou je l’avais soutenue sans failles aurait re-cimenté notre couple. Il n’en fut rien ! Le lendemain sans mots dire, après avoir passé une nuit somme toute calme et seule, elle m’avait demandé de ne pas dormir avec elle, elle craignait le contact de mon corps sur les parties lésées par le zona, elle prit la voiture et ne revint que le soir. Le jour suivant aussi. Même si j’avais compris qu’avec son mal ...