1. Ma femme et " son guérisseur " (2)


    Datte: 19/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... elle n’était pas à prendre avec des pincettes, et donc je pris pour décision d’éviter de lui parler. De retour au soir, encore pas un mot… Là, je me disais qu’elle me devait quand même des explications…et bien je fus confronté à une fin de non-recevoir, avec seulement une allusion brève et rapide à sa thérapie longue et douloureuse. Son comportement était quand même étrange. Elle me blousait complètement et quand elle me parlait c’était pour entendre les mérites de Thomas (qu’elle n’appelait plus son guérisseur). Alors ses yeux pétillaient, son visage s’animait d’une aura de gaité…on aurait dit qu’elle avait rencontré Jésus Christ en personne… Et pas moyen de constater les progrès de la guérison, il m’était interdit de la regarder nue, même pas son ventre seul. Le soir je passais mes soirées seul comme un con, devant des vidéos souvent porno, pour me défaire de la tension qui m’habitait. Lors de ces moments ma consommation de tabac avait explosé et ma consommation d’alcool menaçait d’en faire de même. En un mot, ce putain de zona commençait à faire une seconde victime, moi ! Tous les jours même scenario, elle partait le matin vers 10h00 et rentrait vers 19h00. Sans m’adresser la parole, sans me dire quoique ce soit ayant rapport avec sa thérapie. J’en devenais fou. hobhzzms Et puis les soupçons ont commencé à poindre dans mon esprit lors des sombres ruminations du soir. Et si elle couchait avec ce mec ? Pas possible… Cécile était fidèle et même elle ne supportait pas l’idée ...
    ... qu’un autre que moi la touche, lorsque je lui exposais mes fantasmes de candaulisme. L’idée de coucher avec un autre mec la révulsait. Et puis de toute façon il m’avait dit que les passes sur le zona le vidaient et le rendaient impuissant un certain temps. Lorsqu’à penser, que effectivement les soins puissent être longs et quotidiens ? Au vu de la zone lésée, je n’en avais pas le moindre doute…pourtant quelque chose me dérangeait, mais je n’arrivais pas à mettre le doigt dessus. Le soir je compris enfin ! Dans le couloir menant à notre salle de bain il y avait un miroir qui renvoyait l’image du propre miroir de cette dernière, et montrait ainsi ce qui s’y passait lorsque la porte était ouverte. Or ce soir là, Cécile ne ferma pas suffisamment la porte, du moins pas au verrou, et le mécanisme se relâchant doucement, celle-ci s’ouvrit en un filet qui laissa le reflet du miroir renvoyer l’image de ma femme. Elle avait laissé glisser son trench-coat sur le sol. Elle était nue sans plus aucune marque du zona ! De plus elle avait revêtu un porte -jarretelles sans malgré tout s’encombrer d’un string : elle avait la chatte à l’air ! Voila ce qui m’avait gêné chez elle..bien que remettant toujours le même imperméable comme lors du premier soir, elle portait aussi des bas couleur chair ! Drôle d’accoutrement quand on souffre la martyr et qu’on dit ne supporter aucun sous vêtement sur sa peau blessée ! Elle se foutait donc de ma gueule et ce type, ce Thomas aussi. Le lendemain je décidai ...