1. Épisode 2: Le mitan du début


    Datte: 19/03/2021, Catégories: fh, fplusag, Oral pénétratio, fsodo, sf,

    ... Dévergondée ! Dans le milieu des intellectuels du régime, peut-être ! Si elle avait fréquenté les quartiers où lui allait, elle… Bof, c’était pas son problème. Elle voulait se faire sodomiser, il allait pas la décevoir. Sans dire un mot – d’ailleurs pour dire quoi –, il tira les fesses de la «salope» au ras de la table. Son «p’tit trou» juste à portée de langue. Une tite feuille de rose pour commencer. Ouvrir largement les fesses. Les pouces appliqués de part et d’autre de l’oignon plissé, donnait libre accès à sa langue fouisseuse. La prof ne se contentait plus d’onduler du bassin, elle tortillait franchement son adorable fessier incitant la langue à la pénétrer plus intensément. Cette sodomie linguale dura jusqu’à ce que les pouces, d’abord en alternance puis dans un bel ensemble, s’enfoncent profondément dans un conduit anal souple et accueillant. Dans un souci d’équité, Heinrich, lançant un pouce dans l’anus, plantait l’autre dans la chatte béante. Il procéda de même lorsqu’il usa des deux doigts, dans des allers-et-retours dégoulinant de cyprine. Bientôt, grâce à cette tactique, l’œillet de la dame fut aussi lubrifié et dilaté que sa foufoune. Fallait pas avoir le mal de l’espace ! Ça tanguait drôlement dans la cabine ! C.S.-F. jetait en avant son cul, sa vulve. Elle s’empalait frénétiquement sur les doigts, stoppés seulement par leur jointure. À chaque poussée, il craignait pour son articulation. L’ardeur de sa partenaire excitait le futur spationaute au plus haut ...
    ... point. Il n’avait plus qu’une idée : planter son mandrin dans ce cul en chaleur. Cette fois, il prit l’initiative. Il empoigna les chevilles de Sander-Farrell. Sans ménagement, il lui plaqua les cuisses contre les épaules. Les coudes de la prof glissèrent, sa tête heurta bruyamment la table. Aucune protestation de sa cliente. Au contraire, quand, après s’être lubrifié la bite par deux ou trois va-et-vient dans son vagin inondé, il présenta son nœud contre sa rosette, elle cria : — Wouiiiiiii ! Vas-y ! Dépucelle-moi ! Il poussa virilement. L’anus, bien préparé, s’ouvrit. Il la pénétra jusqu’à la garde sans rencontrer la moindre résistance. Pas de plaintes, ni de cris de douleur. Pas d’atermoiement, pas de tendresse inutile. Il la pilonna sauvagement, faisant claquer ses couilles contre son cul. La table métallique, heureusement fixée au sol, était soumise à rude épreuve. Il espérait qu’elle n’exploserait pas sous ses coups de boutoir. Il espérait aussi que la cabine était insonorisée car Sander-Farrell, elle, avait explosé. Elle hurlait ! Hurlement d’une haute teneur littéraire : — Ouuui… Encoooore… Plus viiiite… Plus foooort… Dééééfonce-moi la raie ! Une idée insensée traversa l’esprit de l’homme. Maintenant qu’elle était sur orbite… Il « décula » puis s’enfonça dans son vagin. Protestation. Il « dévagina » pour se planter à nouveau dans son cul. Approbation. Il « décula » à nouveau. Il alterna vagin et cul. Un coup à hue, un coup à dia. La surprise passée, cette nouvelle ...
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